Malgré le fait que le Québec a un besoin urgent de médecins, 3000 médecins étrangers ont décidé d'abandonner leur profession ou de retourner dans leur pays parce qu'ils ne réussissent pas à pratiquer ici.
Ce printemps, 145 médecins étrangers qui veulent pratiquer au Québec ont tenté d'obtenir une place pour faire leur résidence dans les quatre facultés de médecine de la province. Seulement 68 ont été acceptés.
Le Collège des médecins a rencontré il y a quelques jours le président de la conférence des doyens des universités pour le sensibiliser au problème qui touche plusieurs médecins étrangers.
Source: http://www.radiovm.com/Nouvelles/Details.aspx?/=A&n=13899
mercredi 30 avril 2008
mardi 29 avril 2008
dimanche 27 avril 2008
Le modèle canadien pour résoudre la crise du Delta du Niger
Lagos, Nigeria - Le Groupe du Sommet économique nigérian (NESG) et quelques experts internationaux ont convenu d'adopter les modèles canadien et sud-africain pour s'attaquer aux "injustices économiques" dans la région pétrolifère du Delta du Niger, dans le Sud-Est du Nigeria.
Selon le journal privé "Vanguard", cette décision vise à étouffer dans l'œuf la pauvreté généralisée et promouvoir des investissements durables en vue d'améliorer la vie des habitants de la région.
Dans un document de réflexion présenté au cours d'un dialogue politique national sur l'approche multipartite pour la résolution durable des problèmes des communautés d'accueil, certains experts ont appelé à un programme dont la planification et la mise en œuvre seront supervisées par un secrétariat indépendant.
Cette rencontre, qui a été organisée jeudi à Abuja, la capitale fédérale du Nigeria par le NESG, vise un consensus national sur la nécessité d'adopter une stratégie multipartite pour une gestion équitable des profits générés par les ressources pétrolières.
Ils sont d'avis que les résolutions et les recommandations formulées lors du dialogue seront intégrées dans le processus de sommet sur le Delta du Niger.
Dans sa présentation, une ancienne conseillère auprès du gouvernement canadien, Dr Lois Hooge, a fait savoir que pour plus de succès, il est nécessaire d'adopter les deux modèles.
Mme Hooge a piloté avec succés la formulation et la mise en œuvre de l'évaluation et la gestion des risques similaires au Canada et en Afrique du Sud.
Selon elle, "un des principaux éléments pour les deux programmes a été le désir ardent de renforcer les relations entre les communautés et les investisseurs dans l'intérêt mutuel des parties prenantes pour que les communautés puissent bénéficier d'une économie durable et tangible née des investissements dans leur domaine".
"C'est de cette façon seulement que les investisseurs auront confiance que leurs investissements sont protégés dans un environnement où la sécurité de la vie, la propriété et la règle de droit sont garanties à nouveau.
Le succès de ces modèles a conduit à leur adoption ultérieure dans plusieurs autres pays d'accueil", a-t-elle affirmé.
Toujours dans sa contribution, l'animateur du Sommet économique nigérian, Ikenna Nwosu, a insisté sur la nécessité de l'instauration de la confiance et du respect mutuels entre toutes les parties concernées par la question du Delta du Niger.
Dans le même ordre d'idées, une Organisation non-gouvernementale, le Pro-Natural International a déclaré jeudi que le problème des groupes armés et la criminalité chez les jeunes du Delta du Niger seront mis à terme, si les acteurs concernés adoptent d'autres moyens pour résoudre les conflits dans la région.
Le groupe, dont l'activité s'étend sur les Etats du Delta du Niger, a demandé au gouvernement fédéral et celui de l'Etat d'adopter un modèle qui implique aussi bien le peuple que les jeunes dans les programmes de développement communautaire des diverses agences d'interventions, bien que la question d'un nouveau type de relation entre les compagnies pétrolières et les communautés hôtes soit basée sur un modèle de participation communautaire aux programmes de développement.
s'exprimant au cours d'un forum interactif à Yenagoa, la capitale de l'Etat de Bayelsa, son conseiller de programme, Jim Godson-Dorgu et le responsable de programme, Inatimi Odio, ont déclaré que le modèle adopté pour des zones pétrolières de l'Etat de Bayelsa avait montré que les habitants du Delta du Niger aspiraient à une alternative par rapport à l'approche violente sur les questions liées à la dégradation de l'environnement.
Jim-Dorgu a noté que le nouveau modèle a conduit à la création d'associations de développement entre les populations de Brass, d'Akassa, de Bonny, d'Oron, d'Opobo/Nkoro pour aborder ensemble les questions controversées en vue de trouver des solutions aux conflits et favoriser une participation basée sur l'acceptation et l'égalité des sexes.
Le modèle renforce les communautés qui se considèrent comme marginalisées en les aidant à identifier leurs problèmes, analyser les causes, chercher des solutions, examiner la stratégie et lancer le processus de développement.
Lagos - 25/04/2008
Panapress
Selon le journal privé "Vanguard", cette décision vise à étouffer dans l'œuf la pauvreté généralisée et promouvoir des investissements durables en vue d'améliorer la vie des habitants de la région.
Dans un document de réflexion présenté au cours d'un dialogue politique national sur l'approche multipartite pour la résolution durable des problèmes des communautés d'accueil, certains experts ont appelé à un programme dont la planification et la mise en œuvre seront supervisées par un secrétariat indépendant.
Cette rencontre, qui a été organisée jeudi à Abuja, la capitale fédérale du Nigeria par le NESG, vise un consensus national sur la nécessité d'adopter une stratégie multipartite pour une gestion équitable des profits générés par les ressources pétrolières.
Ils sont d'avis que les résolutions et les recommandations formulées lors du dialogue seront intégrées dans le processus de sommet sur le Delta du Niger.
Dans sa présentation, une ancienne conseillère auprès du gouvernement canadien, Dr Lois Hooge, a fait savoir que pour plus de succès, il est nécessaire d'adopter les deux modèles.
Mme Hooge a piloté avec succés la formulation et la mise en œuvre de l'évaluation et la gestion des risques similaires au Canada et en Afrique du Sud.
Selon elle, "un des principaux éléments pour les deux programmes a été le désir ardent de renforcer les relations entre les communautés et les investisseurs dans l'intérêt mutuel des parties prenantes pour que les communautés puissent bénéficier d'une économie durable et tangible née des investissements dans leur domaine".
"C'est de cette façon seulement que les investisseurs auront confiance que leurs investissements sont protégés dans un environnement où la sécurité de la vie, la propriété et la règle de droit sont garanties à nouveau.
Le succès de ces modèles a conduit à leur adoption ultérieure dans plusieurs autres pays d'accueil", a-t-elle affirmé.
Toujours dans sa contribution, l'animateur du Sommet économique nigérian, Ikenna Nwosu, a insisté sur la nécessité de l'instauration de la confiance et du respect mutuels entre toutes les parties concernées par la question du Delta du Niger.
Dans le même ordre d'idées, une Organisation non-gouvernementale, le Pro-Natural International a déclaré jeudi que le problème des groupes armés et la criminalité chez les jeunes du Delta du Niger seront mis à terme, si les acteurs concernés adoptent d'autres moyens pour résoudre les conflits dans la région.
Le groupe, dont l'activité s'étend sur les Etats du Delta du Niger, a demandé au gouvernement fédéral et celui de l'Etat d'adopter un modèle qui implique aussi bien le peuple que les jeunes dans les programmes de développement communautaire des diverses agences d'interventions, bien que la question d'un nouveau type de relation entre les compagnies pétrolières et les communautés hôtes soit basée sur un modèle de participation communautaire aux programmes de développement.
s'exprimant au cours d'un forum interactif à Yenagoa, la capitale de l'Etat de Bayelsa, son conseiller de programme, Jim Godson-Dorgu et le responsable de programme, Inatimi Odio, ont déclaré que le modèle adopté pour des zones pétrolières de l'Etat de Bayelsa avait montré que les habitants du Delta du Niger aspiraient à une alternative par rapport à l'approche violente sur les questions liées à la dégradation de l'environnement.
Jim-Dorgu a noté que le nouveau modèle a conduit à la création d'associations de développement entre les populations de Brass, d'Akassa, de Bonny, d'Oron, d'Opobo/Nkoro pour aborder ensemble les questions controversées en vue de trouver des solutions aux conflits et favoriser une participation basée sur l'acceptation et l'égalité des sexes.
Le modèle renforce les communautés qui se considèrent comme marginalisées en les aidant à identifier leurs problèmes, analyser les causes, chercher des solutions, examiner la stratégie et lancer le processus de développement.
Lagos - 25/04/2008
Panapress
Idées pour le développement : Faire preuve d'imagination pour régler le problème de la faim dans un monde en changement
Pour ceux d'entre nous qui travaillons dans le monde humanitaire, le problème de la faim représente un enjeu de taille à l'aube de ce 21e siècle. Le Programme alimentaire mondial (PAM) est la plus grande agence humanitaire au monde, reconnue pour intervenir rapidement et efficacement dans les situations d'urgences soudaines et imprévues. Malheureusement, toute la planification, la préparation ou la prévention possible n'auraient jamais pu nous préparer à la situation à laquelle nous sommes tous confrontés aujourd'hui.
Nous sommes une organisation qui achète des vivres en quantité considérable que nous transportons du champ aux bénéficiaires. Mais nous sommes aujourd'hui pris dans un étau entre les prix des céréales qui sont à la hausse et des besoins qui sont de plus en plus importants. Nous sommes sérieusement mis à l'épreuve.
Nombre d'entre nous appartiennent à une génération qui a connu de gigantesques excédents de production agricole. Dans les années 1960 et 1970, les économistes agronomes parlaient des « montagnes de céréales » et des « lacs de vin » produits par un monde industrialisé. Le défi qu'ils avaient alors à relever se résumait à trouver comment gérer cette surproduction. Aujourd'hui, ces montagnes s'érodent et ces lacs s'assèchent.
L'année prochaine, il est prévu que les stocks mondiaux de céréales atteindront leur niveau le plus bas depuis trente ans, ce qui confirme bien que nous vivons dans une ère de production agricole post-excédentaire. L'offre diminue et les prix flambent à cause de pressions que nous ne contrôlons pas:
* La croissance de la population mondiale explose. Nous sommes actuellement 6,7 milliards. Les Nations Unies estiment que la population mondiale atteindra les 8 milliards d'ici à 2025 et 9,1 milliards d'ici à 2050. Ce sont les pays en développement qui absorberont la grande majorité de cette augmentation.
* Les biocarburants : nous faisons face à l'essor récent de la transformation des produits agricoles en carburant. Les agriculteurs vendent leurs récoltes de maïs à des producteurs d'éthanol.
* La croissance économique : les populations d'Inde et de Chine sortent progressivement d'une pauvreté extrême et souhaitent à leur tour consommer des oeufs, des produits laitiers et même du poulet à l'image des pays développés. Quasiment tous les animaux qui produisent du lait ou des oeufs se nourrissent de céréales. En d'autres termes, les vaches et les poulets concurrencent les hommes pour le maïs et le blé.
Alors que le PAM lutte contre les sursauts imprévisibles des marchés agricoles, les producteurs, leurs familles et leurs clients font face au phénomène le plus aléatoire du monde actuel: le changement climatique. Les personnes les plus vulnérables dans les pays en développement dépendent de l'aide alimentaire du PAM quand frappent les catastrophes naturelles. Or, ces dernières se produisent de plus en plus souvent.
Nous affrontons actuellement les pires inondations que l'Afrique ait jamais connues de mémoire d'homme - les rivières sortent de leur lit de l'Atlantique à l'océan Indien, de l'ouest à l'est du continent. Dans certains pays comme la Somalie, de graves sécheresses ont été suivies quelques mois plus tard, de pluies diluviennes qui ont submergé des régions entières du pays.
Le directeur de l'office pour la coordination des affaires humanitaires de l'ONU a déclaré récemment que le nombre d'inondations, de sécheresses et de tempêtes en 2007 confirme ce que tout le monde pressentait : l'impact du changement climatique se fait déjà sentir. Autrement dit, il a confirmé ce que nous craignions le plus : les besoins d'assistance de la part d'agences telles que le PAM ne feront sans doute qu'augmenter.
La combinaison de ces trois facteurs - la croissance de la population mondiale, l'augmentation des prix des céréales et le changement climatique - place le PAM dans une situation particulièrement difficile : on nous demande d'en faire beaucoup plus, mais nos financements n'augmentent pas en conséquence. Nous venons de finaliser notre budget pour 2008 et 2009. En plus d'une hausse de 50 pour cent du cours des céréales sur les cinq dernières années, nous prévoyons une augmentation de 35 pour cent pour les deux ans à venir. Sur ces mêmes années, nous livrerons 780 000 tonnes de vivres en moins.
Comment faire face à ce défi? En utilisant l'aide alimentaire de manière encore plus intelligente. Par cela, nous entendons accomplir notre mission en éliminant non seulement la faim au moment même où nous intervenons, mais aussi en nous attaquant à ses causes profondes.
En Ethiopie, nous avons mis en place un projet pilote d'assurance contre la sécheresse qui couvre les pertes des producteurs quand un climat trop aride détruit leurs récoltes. Ce programme leur permet ainsi de planifier la prochaine saison plutôt que de grossir les rangs des populations contraintes à se déplacer.
En Afrique, nous achetons le plus souvent de la nourriture pour les personnes sous alimentées auprès de petits agriculteurs locaux. Le mois dernier, par exemple, nous avons acheté du maïs blanc à des agriculteurs du Lesotho. En effet, 77 pour cent de la nourriture que nous nous procurons par des achats en espèces provient de 70 pays en développement dans le monde. Nous achetons le plus possible en Afrique pour l'Afrique. Cette méthode ne permet pas seulement au PAM d'économiser, elle aide également à renforcer les moyens de subsistance des petits agriculteurs. A leur tour, ces derniers contribuent à soutenir leur économie locale.
Nous avons énormément appris sur le terrain durant près d'un demi-siècle et le défi auquel le PAM doit faire face consiste aujourd'hui à mettre ce savoir à profit, non seulement pour nourrir ceux qui en ont besoin mais aussi pour agir de manière à briser le cycle de la faim.
Auteur : Josette Sheeran :Directrice exécutive du Programme alimentaire mondial des Nations Unies ---News Press---
Nous sommes une organisation qui achète des vivres en quantité considérable que nous transportons du champ aux bénéficiaires. Mais nous sommes aujourd'hui pris dans un étau entre les prix des céréales qui sont à la hausse et des besoins qui sont de plus en plus importants. Nous sommes sérieusement mis à l'épreuve.
Nombre d'entre nous appartiennent à une génération qui a connu de gigantesques excédents de production agricole. Dans les années 1960 et 1970, les économistes agronomes parlaient des « montagnes de céréales » et des « lacs de vin » produits par un monde industrialisé. Le défi qu'ils avaient alors à relever se résumait à trouver comment gérer cette surproduction. Aujourd'hui, ces montagnes s'érodent et ces lacs s'assèchent.
L'année prochaine, il est prévu que les stocks mondiaux de céréales atteindront leur niveau le plus bas depuis trente ans, ce qui confirme bien que nous vivons dans une ère de production agricole post-excédentaire. L'offre diminue et les prix flambent à cause de pressions que nous ne contrôlons pas:
* La croissance de la population mondiale explose. Nous sommes actuellement 6,7 milliards. Les Nations Unies estiment que la population mondiale atteindra les 8 milliards d'ici à 2025 et 9,1 milliards d'ici à 2050. Ce sont les pays en développement qui absorberont la grande majorité de cette augmentation.
* Les biocarburants : nous faisons face à l'essor récent de la transformation des produits agricoles en carburant. Les agriculteurs vendent leurs récoltes de maïs à des producteurs d'éthanol.
* La croissance économique : les populations d'Inde et de Chine sortent progressivement d'une pauvreté extrême et souhaitent à leur tour consommer des oeufs, des produits laitiers et même du poulet à l'image des pays développés. Quasiment tous les animaux qui produisent du lait ou des oeufs se nourrissent de céréales. En d'autres termes, les vaches et les poulets concurrencent les hommes pour le maïs et le blé.
Alors que le PAM lutte contre les sursauts imprévisibles des marchés agricoles, les producteurs, leurs familles et leurs clients font face au phénomène le plus aléatoire du monde actuel: le changement climatique. Les personnes les plus vulnérables dans les pays en développement dépendent de l'aide alimentaire du PAM quand frappent les catastrophes naturelles. Or, ces dernières se produisent de plus en plus souvent.
Nous affrontons actuellement les pires inondations que l'Afrique ait jamais connues de mémoire d'homme - les rivières sortent de leur lit de l'Atlantique à l'océan Indien, de l'ouest à l'est du continent. Dans certains pays comme la Somalie, de graves sécheresses ont été suivies quelques mois plus tard, de pluies diluviennes qui ont submergé des régions entières du pays.
Le directeur de l'office pour la coordination des affaires humanitaires de l'ONU a déclaré récemment que le nombre d'inondations, de sécheresses et de tempêtes en 2007 confirme ce que tout le monde pressentait : l'impact du changement climatique se fait déjà sentir. Autrement dit, il a confirmé ce que nous craignions le plus : les besoins d'assistance de la part d'agences telles que le PAM ne feront sans doute qu'augmenter.
La combinaison de ces trois facteurs - la croissance de la population mondiale, l'augmentation des prix des céréales et le changement climatique - place le PAM dans une situation particulièrement difficile : on nous demande d'en faire beaucoup plus, mais nos financements n'augmentent pas en conséquence. Nous venons de finaliser notre budget pour 2008 et 2009. En plus d'une hausse de 50 pour cent du cours des céréales sur les cinq dernières années, nous prévoyons une augmentation de 35 pour cent pour les deux ans à venir. Sur ces mêmes années, nous livrerons 780 000 tonnes de vivres en moins.
Comment faire face à ce défi? En utilisant l'aide alimentaire de manière encore plus intelligente. Par cela, nous entendons accomplir notre mission en éliminant non seulement la faim au moment même où nous intervenons, mais aussi en nous attaquant à ses causes profondes.
En Ethiopie, nous avons mis en place un projet pilote d'assurance contre la sécheresse qui couvre les pertes des producteurs quand un climat trop aride détruit leurs récoltes. Ce programme leur permet ainsi de planifier la prochaine saison plutôt que de grossir les rangs des populations contraintes à se déplacer.
En Afrique, nous achetons le plus souvent de la nourriture pour les personnes sous alimentées auprès de petits agriculteurs locaux. Le mois dernier, par exemple, nous avons acheté du maïs blanc à des agriculteurs du Lesotho. En effet, 77 pour cent de la nourriture que nous nous procurons par des achats en espèces provient de 70 pays en développement dans le monde. Nous achetons le plus possible en Afrique pour l'Afrique. Cette méthode ne permet pas seulement au PAM d'économiser, elle aide également à renforcer les moyens de subsistance des petits agriculteurs. A leur tour, ces derniers contribuent à soutenir leur économie locale.
Nous avons énormément appris sur le terrain durant près d'un demi-siècle et le défi auquel le PAM doit faire face consiste aujourd'hui à mettre ce savoir à profit, non seulement pour nourrir ceux qui en ont besoin mais aussi pour agir de manière à briser le cycle de la faim.
Auteur : Josette Sheeran :Directrice exécutive du Programme alimentaire mondial des Nations Unies ---News Press---
vendredi 25 avril 2008
Le site de la commission Bouchard-Taylor victime de pirates
Le site web de la commission Bouchard-Taylor sur les accommodements raisonnables a été victime de pirates informatiques l’automne dernier.
Lors du dernier assaut, en décembre dernier, le pirate a tenté de fausser les résultats d’un sondage sur le nouveau cours d’éthique et de culture religieuse.
Le porte-parole de la commission, Sylvain Leclerc, explique que les experts ont découvert le pot aux roses en constatant le nombre anormalement élevé de répondants.
La moyenne des réponses pour les autres questions était de 500 participants, alors que pour cette question, on parle de plus de 9600 répondants.
Le pirate aurait utilisé un système de réponse automatique sur son ordinateur, il n’aurait donc pas pénétré directement à l’intérieur du système.
Quant à l’auteur de cet acte de piratage, Sylvain Leclerc refuse de le relier à tout groupe religieux.
Source : PROXIMO 2008-04-24 Le Devoir
Lors du dernier assaut, en décembre dernier, le pirate a tenté de fausser les résultats d’un sondage sur le nouveau cours d’éthique et de culture religieuse.
Le porte-parole de la commission, Sylvain Leclerc, explique que les experts ont découvert le pot aux roses en constatant le nombre anormalement élevé de répondants.
La moyenne des réponses pour les autres questions était de 500 participants, alors que pour cette question, on parle de plus de 9600 répondants.
Le pirate aurait utilisé un système de réponse automatique sur son ordinateur, il n’aurait donc pas pénétré directement à l’intérieur du système.
Quant à l’auteur de cet acte de piratage, Sylvain Leclerc refuse de le relier à tout groupe religieux.
Source : PROXIMO 2008-04-24 Le Devoir
L'Association internationale du transport aérien recrute un "Country Manager" à Montréal
Country Manager, Canada
Location Canada, Montreal
Job ID : 894
Position Category : Financial and/or Economics
Employment Type : Full Time - Permanent
Contract Duration : n/a
Travel Required : No
Narrative Description
Reporting to the Regional Director, The Americas, the Country Manager is responsible for representing IATA in all areas of Safety, Operations and Infrastructure, Member & Government Relations, Marketing and Commercial opportunities. A key responsibility will be the operation and development of all aspects of the IATA Settlement Systems in Canada in accordance with governing IATA Resolutions, where applicable. He/she will ensure a high standard of customer service, cost-reduction and revenue-generation in Canada.
Responsibilities
Act as an IATA representative in the country. Build, lead and supervise a team spirit that promotes IATA's values and ensure a service-driven, customer-oriented and business-minded organization;
Maintain close liaisons with airlines, agents and their associations, other industry partners and government bodies on behalf of al IATA's divisions;
Lead the local field office team and manage the IDFS function including customer services and the IATA Settlement System;
Prepare and control the IDFS budget, the adjustment of monthly projections and explanation of variances versus actual as well as manage fraud prevention cases;
Ensure the reconciliation of hinge accounts and that irregularities are handed by the support staff;
Ensure that the local office is operated on a sound commercial basis, within the operating plan, business objectives and agreed budgets, per the appropriate IATA Manuals;
Provide timely financial and operational reports as well as relevant information for key business decisions and long-term strategies.
Qualifications and Skills
University degree in Business Administration or related discipline such as Economics and Finance;
Eight to ten years of management experience, with at least three years of experience in the travel/transport industry;
Proven commercial background including experience in sales and marketing, entrepreneurial flair and strong negotiation skills with exposure to government bodies;
Excellent and prove capability in diplomacy;
Ability to communicated effectively with people from different cultures and backgrounds within and outside the organization;
Sound knowledge of information technology and its application to ISS and Agency Program Operations;
Excellence in written and verbal communication skills in English and French.
Candidates must possess and exhibit the following core IATA values:
Be people and team oriented, focused on results, embrace innovation and change, and demonstrate leadership and personal integrity.
Lien , pour soumettre votre dossier de candidature:
http://www.newspress.fr/communique_201242_3458.aspx
Location Canada, Montreal
Job ID : 894
Position Category : Financial and/or Economics
Employment Type : Full Time - Permanent
Contract Duration : n/a
Travel Required : No
Narrative Description
Reporting to the Regional Director, The Americas, the Country Manager is responsible for representing IATA in all areas of Safety, Operations and Infrastructure, Member & Government Relations, Marketing and Commercial opportunities. A key responsibility will be the operation and development of all aspects of the IATA Settlement Systems in Canada in accordance with governing IATA Resolutions, where applicable. He/she will ensure a high standard of customer service, cost-reduction and revenue-generation in Canada.
Responsibilities
Act as an IATA representative in the country. Build, lead and supervise a team spirit that promotes IATA's values and ensure a service-driven, customer-oriented and business-minded organization;
Maintain close liaisons with airlines, agents and their associations, other industry partners and government bodies on behalf of al IATA's divisions;
Lead the local field office team and manage the IDFS function including customer services and the IATA Settlement System;
Prepare and control the IDFS budget, the adjustment of monthly projections and explanation of variances versus actual as well as manage fraud prevention cases;
Ensure the reconciliation of hinge accounts and that irregularities are handed by the support staff;
Ensure that the local office is operated on a sound commercial basis, within the operating plan, business objectives and agreed budgets, per the appropriate IATA Manuals;
Provide timely financial and operational reports as well as relevant information for key business decisions and long-term strategies.
Qualifications and Skills
University degree in Business Administration or related discipline such as Economics and Finance;
Eight to ten years of management experience, with at least three years of experience in the travel/transport industry;
Proven commercial background including experience in sales and marketing, entrepreneurial flair and strong negotiation skills with exposure to government bodies;
Excellent and prove capability in diplomacy;
Ability to communicated effectively with people from different cultures and backgrounds within and outside the organization;
Sound knowledge of information technology and its application to ISS and Agency Program Operations;
Excellence in written and verbal communication skills in English and French.
Candidates must possess and exhibit the following core IATA values:
Be people and team oriented, focused on results, embrace innovation and change, and demonstrate leadership and personal integrity.
Lien , pour soumettre votre dossier de candidature:
http://www.newspress.fr/communique_201242_3458.aspx
La Fondation WWF France recherche son « Responsable international »
Fondation WWF-France, Organisation de protection de l'environnement rattachée au réseau mondial WWF, mène des actions de conservation et de développement dans plusieurs éco- régions prioritaires et dans différents territoires français d'outre mer.
Dans ce contexte, nous recherchons un responsable international des programmes, chargé des missions suivantes :
- Conseiller et appuyer la Direction dans le développement de l'engagement du WWF-France sur l'Outre Mer et l'international,
- Renforcer les relations extérieures du WWF-France vis-à-vis du Réseau WWF et des acteurs français du développement en coopération (développement et renforcement de partenariats stratégiques) en particulier le gouvernement français et les institutions publiques,
- Piloter & coordonner la stratégie 2007 / 2012 du WWF-France sur l'Outre-mer et l'international, développer et appuyer les équipes techniques dans leurs efforts de plaidoyer, de communication, de sensibilisation des acteurs français et de développement d'actions de coopération dans les écorégions prioritaires,
- Renforcer en particulier le plaidoyer du WWF-France sur les questions de gouvernance mondiale environnementale et de développement humain incluant financements durables notamment vis-à-vis des politiques bilatérales et multilatérales de la France,
- Renforcer le WWF-France dans sa prospective sur les questions de gouvernance de la gestion et la préservation des Biens Publics Mondiaux et de la place & du rôle de la France dans le monde (en particulier au regard des pays francophones du continent Africain et en Asie du Sud-Est),
- Mobiliser, coordonner et pérenniser les moyens humains et financiers dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie Outre-mer/International.
Les responsabilités en gestion d'équipe sont hiérarchique vis-à-vis de l'équipe du pôle Outre-mer et fonctionnelles vis-à-vis des experts techniques thématiques internationaux
Les compétences recherchées sont les suivantes :
- Bac + 5 minimum en environnement, biologie, écologie ou en politique et stratégie de développement à l'international,
- 10 à 15 années d'expériences minimum en stratégie, gestion d'équipe à l'international ou dans une institution internationale,
- Très bonne capacité de négociation et de résolution de conflits, en communication,
- Courant en anglais, l'espagnol serait un plus,
Le poste, en contrat à durée indéterminée, est basé à Paris, à pourvoir le plus rapidement possible. Des
déplacements à l 'étranger sont à prévoir. Rémunération selon qualification et expérience.
Pour postuler, merci d'envoyer CV et lettre de motivation à recrutement@wwf.fr sous la référence « Poste
Responsable international » avant le 30 avril 2008.
Source : News Press 23/04/2008
Dans ce contexte, nous recherchons un responsable international des programmes, chargé des missions suivantes :
- Conseiller et appuyer la Direction dans le développement de l'engagement du WWF-France sur l'Outre Mer et l'international,
- Renforcer les relations extérieures du WWF-France vis-à-vis du Réseau WWF et des acteurs français du développement en coopération (développement et renforcement de partenariats stratégiques) en particulier le gouvernement français et les institutions publiques,
- Piloter & coordonner la stratégie 2007 / 2012 du WWF-France sur l'Outre-mer et l'international, développer et appuyer les équipes techniques dans leurs efforts de plaidoyer, de communication, de sensibilisation des acteurs français et de développement d'actions de coopération dans les écorégions prioritaires,
- Renforcer en particulier le plaidoyer du WWF-France sur les questions de gouvernance mondiale environnementale et de développement humain incluant financements durables notamment vis-à-vis des politiques bilatérales et multilatérales de la France,
- Renforcer le WWF-France dans sa prospective sur les questions de gouvernance de la gestion et la préservation des Biens Publics Mondiaux et de la place & du rôle de la France dans le monde (en particulier au regard des pays francophones du continent Africain et en Asie du Sud-Est),
- Mobiliser, coordonner et pérenniser les moyens humains et financiers dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie Outre-mer/International.
Les responsabilités en gestion d'équipe sont hiérarchique vis-à-vis de l'équipe du pôle Outre-mer et fonctionnelles vis-à-vis des experts techniques thématiques internationaux
Les compétences recherchées sont les suivantes :
- Bac + 5 minimum en environnement, biologie, écologie ou en politique et stratégie de développement à l'international,
- 10 à 15 années d'expériences minimum en stratégie, gestion d'équipe à l'international ou dans une institution internationale,
- Très bonne capacité de négociation et de résolution de conflits, en communication,
- Courant en anglais, l'espagnol serait un plus,
Le poste, en contrat à durée indéterminée, est basé à Paris, à pourvoir le plus rapidement possible. Des
déplacements à l 'étranger sont à prévoir. Rémunération selon qualification et expérience.
Pour postuler, merci d'envoyer CV et lettre de motivation à recrutement@wwf.fr sous la référence « Poste
Responsable international » avant le 30 avril 2008.
Source : News Press 23/04/2008
INVITATION : MESSE POUR LE TOGO à Montréal
À l’occasion de la célébration de la Fête de l’Indépendance du TOGO ( 27 Avril 2008) , un groupe de Togolais ( es) à Montréal ( CANADA) vous confie à une Messe d’actions de Grâces .
Date : 4 Mai 2008 à 10h30
Lieu : Centre Africa
1644 St-Hubert ,
( Près du Métro Berri Uquam) à Montréal.
www.centreafrika.com
NB :
►►Le Centre Africa offre chaque 1er dimanche du mois , une messe africaine. Celle du 4 Mai 2008 sera animée par la Chorale Congolaise MAENDELEO
►►Si vous avez vos DZIFOMO , vous pourrez les y apporter , nous pourrons frédonner quelques mélodies du terroir.
Date : 4 Mai 2008 à 10h30
Lieu : Centre Africa
1644 St-Hubert ,
( Près du Métro Berri Uquam) à Montréal.
www.centreafrika.com
NB :
►►Le Centre Africa offre chaque 1er dimanche du mois , une messe africaine. Celle du 4 Mai 2008 sera animée par la Chorale Congolaise MAENDELEO
►►Si vous avez vos DZIFOMO , vous pourrez les y apporter , nous pourrons frédonner quelques mélodies du terroir.
mercredi 23 avril 2008
AFRIEXPERTS : Une entreprise canadienne de consultation et d’expertise-conseils d’envergure internationale
L’idée maîtresse ayant inspiré la création de ce réseau de consultants a permis de rassembler autour des valeurs et d’aspirations communes, des hommes et des femmes qui ont à cœur de faire valoir au Canada et à l’international leurs expertises, et de proposer divers services à la hauteur de leurs expériences professionnelles et de leurs compétences. De cette idée maîtresse est née toute une culture d’entreprise qui dicte au quotidien notre démarche et contribue à bâtir notre réputation.
Merci de votre visite et de l’intérêt que vous portez à nos prestations.
DÉCOUVREZ CETTE BELLE INITIATIVE :
http://www.afriexperts.com/francais/index.html
Afriexperts International
6649 Bd Thimens,
H4S 1W2, Montréal, Qc
CANADA
Tél. + 1 514 750 12 60
Fax: +1 514 750 12 49
E-mail : info@afriexperts.com
Merci de votre visite et de l’intérêt que vous portez à nos prestations.
DÉCOUVREZ CETTE BELLE INITIATIVE :
http://www.afriexperts.com/francais/index.html
Afriexperts International
6649 Bd Thimens,
H4S 1W2, Montréal, Qc
CANADA
Tél. + 1 514 750 12 60
Fax: +1 514 750 12 49
E-mail : info@afriexperts.com
mardi 22 avril 2008
RAPPEL : La 4ème édition de la Journée Africaine
Les groupes et organismes partenaires du Centre Afrika
présentent en collaboration avec l’ÉcoMusée du Fier Monde
La 4ème édition de la Journée Africaine
SAMEDI 26 AVRIL 2008 de 13H à 18H
À l’Écomusée du Fier Monde,
au 2050 rue Amherst à Montréal
(à 2 pas du Centre Afrika, entre les rues Ontario Est et Amherst)
Programme de la Journée Africaine
Venez découvrir des troupes culturelles, des organismes communautaires
et des associations africaines qui se sont intégrés à la société québécoise et qui travaillent
au rapprochement interculturel. A travers des kiosques, des activités interactives,
des spectacles et des bouchées aux saveurs africaines,
laissez-vous séduire par leur dynamisme et leur créativité.
Un rendez-vous à ne pas manquer! Entrée libre.
Pour informations :
Tél : (514) 843-4019
Pour plus d'info :
http://www.centreafrika.com/journeeafricaine2008.htm
présentent en collaboration avec l’ÉcoMusée du Fier Monde
La 4ème édition de la Journée Africaine
SAMEDI 26 AVRIL 2008 de 13H à 18H
À l’Écomusée du Fier Monde,
au 2050 rue Amherst à Montréal
(à 2 pas du Centre Afrika, entre les rues Ontario Est et Amherst)
Programme de la Journée Africaine
Venez découvrir des troupes culturelles, des organismes communautaires
et des associations africaines qui se sont intégrés à la société québécoise et qui travaillent
au rapprochement interculturel. A travers des kiosques, des activités interactives,
des spectacles et des bouchées aux saveurs africaines,
laissez-vous séduire par leur dynamisme et leur créativité.
Un rendez-vous à ne pas manquer! Entrée libre.
Pour informations :
Tél : (514) 843-4019
Pour plus d'info :
http://www.centreafrika.com/journeeafricaine2008.htm
Le bénévolat = facteur D’INTÉGRATION
Le bénévolat est très valorisé dans notre société. Nous pensons que l’implication bénévole contribue à développer un monde meilleur. Le don de soi est quelque chose de valorisant pour la personne qui le fait et également très apprécié par les gens qui sont aidés par des bénévoles.
Le centre d’action bénévole de Montréal-Nord est en constante recherche de nouveau bénévole et de nouveaux talents. Vous aimeriez faire du bénévolat? Vous avez un peu de temps à offrir?
Dans le cadre de la semaine de l’action bénévole 2008, nous vous proposons une soirée d’information sur le bénévolat comme facteur d’intégration. Nous vous parlerons des possibilités d’implication bénévole à Montréal-Nord et ce que le bénévolat peut vous apporter comme bien-être. Nous aurons des témoignages de bénévoles impliqués dans la communauté.
--------------------------------------------------------------------------------
Titre: Le bénévolat comme facteur d’intégration
Date: Jeudi 1 mai 2008
Lieu: Centre d’action bénévole de Montréal-Nord
4638 rue forest
Heure: 18h30
ATTENTION: Cette rencontre aura lieu dans nos bureaux.
--------------------------------------------------------------------------------
Vous devez vous inscrire OBLIGATOIREMENT en téléphonant au 514-328-0494.
*** Un service de garde est offert sur réservation. ***
L’équipe du SANA, Nathalie et Nicole
Intervenantes communautaires
Centre d’action bénévole de Montréal-Nord
Service d’Accompagnement des Nouveaux Arrivants (SANA)
4640 rue forest, Montréal-Nord, H1H 2P3
514-328-0494
saeijumelage@cabmtl-nord.org
Le centre d’action bénévole de Montréal-Nord est en constante recherche de nouveau bénévole et de nouveaux talents. Vous aimeriez faire du bénévolat? Vous avez un peu de temps à offrir?
Dans le cadre de la semaine de l’action bénévole 2008, nous vous proposons une soirée d’information sur le bénévolat comme facteur d’intégration. Nous vous parlerons des possibilités d’implication bénévole à Montréal-Nord et ce que le bénévolat peut vous apporter comme bien-être. Nous aurons des témoignages de bénévoles impliqués dans la communauté.
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Titre: Le bénévolat comme facteur d’intégration
Date: Jeudi 1 mai 2008
Lieu: Centre d’action bénévole de Montréal-Nord
4638 rue forest
Heure: 18h30
ATTENTION: Cette rencontre aura lieu dans nos bureaux.
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Vous devez vous inscrire OBLIGATOIREMENT en téléphonant au 514-328-0494.
*** Un service de garde est offert sur réservation. ***
L’équipe du SANA, Nathalie et Nicole
Intervenantes communautaires
Centre d’action bénévole de Montréal-Nord
Service d’Accompagnement des Nouveaux Arrivants (SANA)
4640 rue forest, Montréal-Nord, H1H 2P3
514-328-0494
saeijumelage@cabmtl-nord.org
lundi 21 avril 2008
Offres d'emploi destinées aux cadres en Afrique
Plusieurs multinationales sont à la recherche de profils qualifiés pour
travailler en Afrique.
Venez à leur rencontre sur Africarrières, le portail de référence pour
les annonces de recrutement de cadres en Afrique.
Le service est entièrement GRATUIT et vous pouvez dès mainteant déposer
votre CV en ligne en suivant ce lien:
http://www.africarrieres.com
Africarrières reste aujourd'hui le seul et unique site spécialisé dans
les offres d'emploi destinées aux cadres en Afrique.
Pourquoi donc aller chercher plus loin ce que vous pouvez trouver plus
près?
http://www.africarrieres.com
travailler en Afrique.
Venez à leur rencontre sur Africarrières, le portail de référence pour
les annonces de recrutement de cadres en Afrique.
Le service est entièrement GRATUIT et vous pouvez dès mainteant déposer
votre CV en ligne en suivant ce lien:
http://www.africarrieres.com
Africarrières reste aujourd'hui le seul et unique site spécialisé dans
les offres d'emploi destinées aux cadres en Afrique.
Pourquoi donc aller chercher plus loin ce que vous pouvez trouver plus
près?
http://www.africarrieres.com
Comment mieux soutenir les familles vivant avec un enfant handicapé?
Bonjour à tous les membres et partenaires d'ACCÉSSS,
J'ai le plaisir de vous présenter l'opportunité de participer à un
sondage
éclair intitulé ''Comment mieux soutenir les familles vivant avec un
enfant
handicapé?''
À la suite de la publication de Tricoter avec amour : Étude sur la vie
de
famille avec un enfant handicapé, le Conseil de la famille et de
l'enfance
vous invite à contribuer à sa réflexion concernant les solutions à
recommander pour mieux aider ces familles. Le sondage qui prend moins
de 5
minutes sera en ligne jusqu'au 9 mai sur le site du Conseil. Il est
anonyme
et n'engage aucune organisation. Vous pouvez y accéder par ce lien:
http://www.cfe.gouv.qc.ca/quoi-de-neuf.asp?idDoc=66772
Au plaisir de vous informer,
Adina Ungureanu, ACCÉSSS
Visitez notre site Web au www.accesss.net
J'ai le plaisir de vous présenter l'opportunité de participer à un
sondage
éclair intitulé ''Comment mieux soutenir les familles vivant avec un
enfant
handicapé?''
À la suite de la publication de Tricoter avec amour : Étude sur la vie
de
famille avec un enfant handicapé, le Conseil de la famille et de
l'enfance
vous invite à contribuer à sa réflexion concernant les solutions à
recommander pour mieux aider ces familles. Le sondage qui prend moins
de 5
minutes sera en ligne jusqu'au 9 mai sur le site du Conseil. Il est
anonyme
et n'engage aucune organisation. Vous pouvez y accéder par ce lien:
http://www.cfe.gouv.qc.ca/quoi-de-neuf.asp?idDoc=66772
Au plaisir de vous informer,
Adina Ungureanu, ACCÉSSS
Visitez notre site Web au www.accesss.net
vendredi 18 avril 2008
OFFRE D'EMPLOIS
Le CRESO-immigration participe à la foire d’emploi annuelle Contact-Emploi qui aura lieu le 29 mai de 9h-12h. Cet événement permet aux chercheurs d’emploi d’être en contact direct avec les employeurs et de bénéficier du privilège de rencontrer et d’avoir une entrevue avec plus de 10 employeurs par domaine : Administration - Génie civil - Génie mécanique. Veuillez référer des candidatures dans ces trois domaines à Madalina Eremia Coordonnatrice Contact-Emploi C.I.M.O.I 167 Hymus, Pointe-Claire (Qc) H9R 1E9 Tél : 514-693-1000 x 405 madalina.eremia@cimoi.com www.cimoi.com
L’organisme « Chantier d’Afrique du Canada (CHAFRIC) » est présentement à la recherche d’un CHARGÉ DE PROJETS pour son offre de services en entrepreneuriat
Le Carrefour Jeunesse Emploi Viger/Jeanne-Mance et le Centre de Recherche d'Emploi de l'Est vous invitent à la troisième séance d’entrevues éclair le 22 avril 2008. Plusieurs employeurs seront présents et de nombreux postes seront à combler. Les personnes intéressées peuvent consulter les postes sur la liste ci-jointe. Celle-ci sera également disponible sur le site Internet du CJE Viger/Jeanne-Mance et du Centre de Recherche d'Emploi de l'Est: www.creest.com
Vous trouverez 5 postes affichés à la CRÉ de Montréal (Conférence régionale des élus de Montréal qui a pour mandat de favoriser le développement de l’île de Montréal par le biais de la concertation et d'agir comme l’interlocuteur privilégié du gouvernement du Québec en matière de développement régional de son territoire.
- AGENTE ou AGENT DE DÉVELOPPEMENT – ÉCONOMIE SOCIALE
- AGENTE ou AGENT DE DÉVELOPPEMENT EN MATIÈRE D’IMMIGRATION
- AGENTE ou AGENT DE DÉVELOPPEMENT – LEADERSHIP MONTRÉAL
- AGENTE ou AGENT DE DÉVELOPPEMENT – STRATÉGIE DE L’EAU
- CHARGÉ DE PROJET EN MATIÈRE D’ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
TOHU, la Cité des arts du cirque qui est un organisme à but non lucratif (OBNL) recrute des jeunes.
Le Resto Plateau qui est une entreprise d’insertion sociale et professionnelle et qui a pour mission de lutter contre la pauvreté et l’exclusion est à la recherche d'un-e formateur-trice pratique au service de traiteur.
Aviatech Services Techniques est à la recherche d'un ingénieur Senior – Structures aéronautiques
Québec Multi-Plus présente son 5 à 7 « diversité en affaire », une occasion de venir réseauter dans une ambiance toujours conviviale, échanger des astuces, rencontrer ses futurs collaborateurs, bref se préparer pour l'avenir autour du buffet toujours agréable du restaurant La butte St-Jacques, au 50 St-Jacques Ouest, dans le vieux Montréal.
Refuge Juan Moreno est en recherche d’une Agente de projet pour le Projet femmes en santé (PFS). Le PFS est un projet de prévention de VIH et les ITSS. Le PFS est orienté par un comité consultatif composé de trois partenaires, Refuge Juan Moreno, PRAIDA et Solidarité femmes africaines. Le PFS est subventionné par l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal.
Un employeur est à la recherche d'une réceptionniste, avec les exigences suivantes: Education : Collegial Completed; Years of experience related to the job offer : 7 to 11 months experience; Language(s) asked for : French and English very good knowledge; Salary offered : to be discussed Number of hours per week : 40,00. Emploi à temps plein. Job start date : 2008-04-14 L'entreprise est un laboratoire. Pour les gens intéressé me contacter.Marie Josée Plouffe Conseillère en emploi au CACI 514-856-3511, poste 19
Fondation du maire de Montréal: « futurs entrepreneurs profitez de cette opportunité de financement et de services en soumettant votre projet avent le 2 mai ».
Trisotech recherche un Concepteur de Logiciels spécialisé en Java pour un poste permanent.
Une firme de génie conseil spécialisée en génie routier et municipal, développement résidentiel et commercial spécialisé aussi en aménagement paysager et en conception de plans à la réalisation des travaux clé en main est à la recherche d'un technicien dessinateur en génie civil.
Les 6èmes journées de l'Emploi du CARI St-Laurent auront lieu les 29 et 30 avril prochain. Pour inscription et informations: 514 748-2007.
La Ligue des Noirs du Québec est à la recherche de seize (16) jeunes des minorités visibles âgés de 16 à 30 ans pour participer à deux projets d’insertion en emploi ou de retour aux études dans le cadre du programme connexion compétence de services Canada.
Le Secrétariat du Conseil de la fédération accepte les demandes de candidats
de partout au Canada pour participer à son Programme de stages Jeunesse. Ce stage rémunéré ce déroule à Ottawa, commence au mois de juillet 2008 et dure douze mois. Les candidats doivent être âgés de 25 ans ou moins, avoir obtenu un diplôme de premier ou de deuxième cycle d'une université reconnue, et doivent être capables de travailler légalement au Canada. Les candidats doivent manifester un intérêt pour la politique canadienne et le fédéralisme et doivent pouvoir s'exprimer en français et en anglais. La date limite pour présenter sa demande est le 22 mai 2008. Pour en savoir plus et pour recevoir le formulaire de demande, rendez-vous au : www.conseildelafederation.ca
Découvrez eFairJob un salon virtuel de l’emploi et de la formation au Canada!.
Un professionnel recherche actuellement un ingénieur en hydrométallurgie ou en chimie (expérience en métallurgie ou génie des procédés), bilingue. Envoyer les cv à igavard@cari.qc.ca.
Agri-Job nous informe que la saison agricole 2008 a déjà commencé et qu'il est donc temps de s'inscrire. Le travail aux champs est un travail qui ne requiert aucune expérience particulière ni aucune exigence linguistique spécifique et le transport chez les producteurs est disponible. Le salaire pour la saison 2008 est de 9,04 $ l'heure et plus, ce qui inclue le 4% représentant l'indemnité pour les vacances. Pour les détails: Téléphone : 514-273-0109 www.agrijob.info
INTERCONNEXION NORD-SUD est un organisme qui s’investit depuis cinq ans auprès de la communauté africaine pour l’intégration de cette dernière dans la société d’accueil, particulièrement en insertion en emploi
Offres d'emplois du Centre d'intégration en employabilité pour immigrants dans la région des Laurentides et du nord de Montréal: http://immigrant.cielaurentides.com/index.php?option=com_jobline&Itemid=32
Synergie-contact est à la recherche de conseillers au support technique et conseillers au service à la clientèle.
Vous cherchez une formation pour réaliser votre projet d’entreprise? Vous souhaitez vivre un accompagnement entrepreneurial personnalisé? Vous voulez être orienté adéquatement vers les ressources existantes? Contactez Chantier d'Afrique du Canada CHAFRIC Tél. 514 767-6200. http://www.chafric.ca/html/
L’OBNL* Objectif Sciences Québec a le plaisir de proposer plusieurs postes à pourvoir afin de compléter son équipe d’Educateurs Scientifiques :
http://asso.objectif-sciences.com/-Le-metier-d-educateur-scientifique-.html
Les candidatures sont à envoyer selon la procédure indiquée sur le lien ci-dessus.
InfoNath - Emploi, mis à jour continuellement. Cette page web a pour but de diffuser le plus largement possible des offres d'emplois reçus par une consultante en intégration sociale. Donc elle ne diffuse pas les offres reçues sur une base professionnelle. À vous de bien vérifier!!! http://www.viadeo.com/hub/affichehub/?hubId=0022477lbyjkohkr
La TOHU, la cité des arts du cirque offre régulièrement des emplois à des personnes de plus de 18 ans. Pour en savoir plus, cliquer sur: http://www.tohu.ca/fr/recherche.aspx?q=Emplois
Le Suco offre des possibilités de stages outre-mer. Pour toute information concernant ces postes, consultez leur site web à www.suco.org
Communautique est présentement à la recherche de personnes pour combler des postes. Vous trouverez leur description dans le site de Communautique à l'adresse suivante: http://www.communautique.qc.ca/babillard-communautaire/offres-emploi.html
L'Alliance des Communautés culturelles pour l’Égalité dans la Santé et les Services Sociaux ACCESSS propose des offres d'emploi provenant de leurs membres et partenaires. Consultez souvent leur site à: http://www.accesss.net/index.php?articleid=21 De nouvelles offres seront ajoutées régulièrement.
Le MICC (Ministère de l'Immigration et des communautés culturelles) offre une formation sur les Conduites culturelles en emploi
L’organisme Interconnexion Nord-Sud vous informe qu’il reçoit occasionnellement des offres d’emplois dans la région de Montréal et notamment dans des régions du Québec.
Vous trouverez les concours de recrutement du gouvernement du Québec publiés sur leur site à: www.recrutementquebec.gouv.qc.ca
SOURCE : http://www.centreafrika.com/offresemplois.htm
L’organisme « Chantier d’Afrique du Canada (CHAFRIC) » est présentement à la recherche d’un CHARGÉ DE PROJETS pour son offre de services en entrepreneuriat
Le Carrefour Jeunesse Emploi Viger/Jeanne-Mance et le Centre de Recherche d'Emploi de l'Est vous invitent à la troisième séance d’entrevues éclair le 22 avril 2008. Plusieurs employeurs seront présents et de nombreux postes seront à combler. Les personnes intéressées peuvent consulter les postes sur la liste ci-jointe. Celle-ci sera également disponible sur le site Internet du CJE Viger/Jeanne-Mance et du Centre de Recherche d'Emploi de l'Est: www.creest.com
Vous trouverez 5 postes affichés à la CRÉ de Montréal (Conférence régionale des élus de Montréal qui a pour mandat de favoriser le développement de l’île de Montréal par le biais de la concertation et d'agir comme l’interlocuteur privilégié du gouvernement du Québec en matière de développement régional de son territoire.
- AGENTE ou AGENT DE DÉVELOPPEMENT – ÉCONOMIE SOCIALE
- AGENTE ou AGENT DE DÉVELOPPEMENT EN MATIÈRE D’IMMIGRATION
- AGENTE ou AGENT DE DÉVELOPPEMENT – LEADERSHIP MONTRÉAL
- AGENTE ou AGENT DE DÉVELOPPEMENT – STRATÉGIE DE L’EAU
- CHARGÉ DE PROJET EN MATIÈRE D’ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
TOHU, la Cité des arts du cirque qui est un organisme à but non lucratif (OBNL) recrute des jeunes.
Le Resto Plateau qui est une entreprise d’insertion sociale et professionnelle et qui a pour mission de lutter contre la pauvreté et l’exclusion est à la recherche d'un-e formateur-trice pratique au service de traiteur.
Aviatech Services Techniques est à la recherche d'un ingénieur Senior – Structures aéronautiques
Québec Multi-Plus présente son 5 à 7 « diversité en affaire », une occasion de venir réseauter dans une ambiance toujours conviviale, échanger des astuces, rencontrer ses futurs collaborateurs, bref se préparer pour l'avenir autour du buffet toujours agréable du restaurant La butte St-Jacques, au 50 St-Jacques Ouest, dans le vieux Montréal.
Refuge Juan Moreno est en recherche d’une Agente de projet pour le Projet femmes en santé (PFS). Le PFS est un projet de prévention de VIH et les ITSS. Le PFS est orienté par un comité consultatif composé de trois partenaires, Refuge Juan Moreno, PRAIDA et Solidarité femmes africaines. Le PFS est subventionné par l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal.
Un employeur est à la recherche d'une réceptionniste, avec les exigences suivantes: Education : Collegial Completed; Years of experience related to the job offer : 7 to 11 months experience; Language(s) asked for : French and English very good knowledge; Salary offered : to be discussed Number of hours per week : 40,00. Emploi à temps plein. Job start date : 2008-04-14 L'entreprise est un laboratoire. Pour les gens intéressé me contacter.Marie Josée Plouffe Conseillère en emploi au CACI 514-856-3511, poste 19
Fondation du maire de Montréal: « futurs entrepreneurs profitez de cette opportunité de financement et de services en soumettant votre projet avent le 2 mai ».
Trisotech recherche un Concepteur de Logiciels spécialisé en Java pour un poste permanent.
Une firme de génie conseil spécialisée en génie routier et municipal, développement résidentiel et commercial spécialisé aussi en aménagement paysager et en conception de plans à la réalisation des travaux clé en main est à la recherche d'un technicien dessinateur en génie civil.
Les 6èmes journées de l'Emploi du CARI St-Laurent auront lieu les 29 et 30 avril prochain. Pour inscription et informations: 514 748-2007.
La Ligue des Noirs du Québec est à la recherche de seize (16) jeunes des minorités visibles âgés de 16 à 30 ans pour participer à deux projets d’insertion en emploi ou de retour aux études dans le cadre du programme connexion compétence de services Canada.
Le Secrétariat du Conseil de la fédération accepte les demandes de candidats
de partout au Canada pour participer à son Programme de stages Jeunesse. Ce stage rémunéré ce déroule à Ottawa, commence au mois de juillet 2008 et dure douze mois. Les candidats doivent être âgés de 25 ans ou moins, avoir obtenu un diplôme de premier ou de deuxième cycle d'une université reconnue, et doivent être capables de travailler légalement au Canada. Les candidats doivent manifester un intérêt pour la politique canadienne et le fédéralisme et doivent pouvoir s'exprimer en français et en anglais. La date limite pour présenter sa demande est le 22 mai 2008. Pour en savoir plus et pour recevoir le formulaire de demande, rendez-vous au : www.conseildelafederation.ca
Découvrez eFairJob un salon virtuel de l’emploi et de la formation au Canada!.
Un professionnel recherche actuellement un ingénieur en hydrométallurgie ou en chimie (expérience en métallurgie ou génie des procédés), bilingue. Envoyer les cv à igavard@cari.qc.ca.
Agri-Job nous informe que la saison agricole 2008 a déjà commencé et qu'il est donc temps de s'inscrire. Le travail aux champs est un travail qui ne requiert aucune expérience particulière ni aucune exigence linguistique spécifique et le transport chez les producteurs est disponible. Le salaire pour la saison 2008 est de 9,04 $ l'heure et plus, ce qui inclue le 4% représentant l'indemnité pour les vacances. Pour les détails: Téléphone : 514-273-0109 www.agrijob.info
INTERCONNEXION NORD-SUD est un organisme qui s’investit depuis cinq ans auprès de la communauté africaine pour l’intégration de cette dernière dans la société d’accueil, particulièrement en insertion en emploi
Offres d'emplois du Centre d'intégration en employabilité pour immigrants dans la région des Laurentides et du nord de Montréal: http://immigrant.cielaurentides.com/index.php?option=com_jobline&Itemid=32
Synergie-contact est à la recherche de conseillers au support technique et conseillers au service à la clientèle.
Vous cherchez une formation pour réaliser votre projet d’entreprise? Vous souhaitez vivre un accompagnement entrepreneurial personnalisé? Vous voulez être orienté adéquatement vers les ressources existantes? Contactez Chantier d'Afrique du Canada CHAFRIC Tél. 514 767-6200. http://www.chafric.ca/html/
L’OBNL* Objectif Sciences Québec a le plaisir de proposer plusieurs postes à pourvoir afin de compléter son équipe d’Educateurs Scientifiques :
http://asso.objectif-sciences.com/-Le-metier-d-educateur-scientifique-.html
Les candidatures sont à envoyer selon la procédure indiquée sur le lien ci-dessus.
InfoNath - Emploi, mis à jour continuellement. Cette page web a pour but de diffuser le plus largement possible des offres d'emplois reçus par une consultante en intégration sociale. Donc elle ne diffuse pas les offres reçues sur une base professionnelle. À vous de bien vérifier!!! http://www.viadeo.com/hub/affichehub/?hubId=0022477lbyjkohkr
La TOHU, la cité des arts du cirque offre régulièrement des emplois à des personnes de plus de 18 ans. Pour en savoir plus, cliquer sur: http://www.tohu.ca/fr/recherche.aspx?q=Emplois
Le Suco offre des possibilités de stages outre-mer. Pour toute information concernant ces postes, consultez leur site web à www.suco.org
Communautique est présentement à la recherche de personnes pour combler des postes. Vous trouverez leur description dans le site de Communautique à l'adresse suivante: http://www.communautique.qc.ca/babillard-communautaire/offres-emploi.html
L'Alliance des Communautés culturelles pour l’Égalité dans la Santé et les Services Sociaux ACCESSS propose des offres d'emploi provenant de leurs membres et partenaires. Consultez souvent leur site à: http://www.accesss.net/index.php?articleid=21 De nouvelles offres seront ajoutées régulièrement.
Le MICC (Ministère de l'Immigration et des communautés culturelles) offre une formation sur les Conduites culturelles en emploi
L’organisme Interconnexion Nord-Sud vous informe qu’il reçoit occasionnellement des offres d’emplois dans la région de Montréal et notamment dans des régions du Québec.
Vous trouverez les concours de recrutement du gouvernement du Québec publiés sur leur site à: www.recrutementquebec.gouv.qc.ca
SOURCE : http://www.centreafrika.com/offresemplois.htm
Aimé Césaire, le père du célèbre concept de négritude ( la conscience d ’ être noir ), s’est éteint..
La France organisera dimanche des obsèques nationales pour Aimé Césaire, le poète martiniquais chantre de la « négritude » , décédé hier à 94 ans à Fort-de-France .
Aimé Césaire, le père du célèbre concept de négritude ( la conscience d ’ être noir ), s’est éteint, hier, à Fort-de-France à l’âge de 94 ans. De tous les combats contre le colonialisme et le racisme pendant 70 ans, cet « éveilleur de liberté » a consacré sa vie à la littérature et à la politique. Solidaire du monde noir et de sa révolte contre le colonisateur, il se disait « fondamentalement poète, mais poète engagé » et « nègre, nègre, depuis le fond du ciel immémorial » . Fêté à l ’ université, célébré à la Comédie-Française, écrasante figure de la société martiniquaise, Aimé Césaire a écrit une œ uvre véhémente et revendicative, parfois proche du surréalisme et a eu une influence majeure sur plusieurs générations d’écrivains et d’intellectuels à travers le monde. Maire de Fort-de-France de 1945 (il n ’ avait que 32 ans) à 2001,
député de 1945 à 1993, président du c onseil régional de Martinique, il avait quitté la présidence du Parti progressiste martiniquais (PPM) en 2005.
Un surdoué
Né à Basse-Pointe , ce fils surdoué d ’ un inspecteur des impôts fut encouragé aux études par les professeurs du lycée Schoelcher de Fort-de-France. A Louis-le-Grand, à Paris, il rencontr a Léopold Sedar Senghor, le futur président sénégalais. Il rejoi gnit Normale S up et lan ça , en 1932, la revue « L ’ Etudiant noir » où, pour la première fois, des écrivains noirs réfut ai ent les modèles littéraires traditionnels. En 1939, il fit une entrée fracassante en poésie avec « Cahier d ’ un retour au pays natal » , employant, encore une première, le terme de « négritude » . Aimé Césaire a écrit des pièces comme « La Tragédie du roi Christophe », « Une saison au Congo ». En poésie, il a signé « Les Armes miraculeuses » , « Cadastre » , « Corps perdu » ou « Moi laminaire » .
Au Panthéon ?
Les obsèques nationales du poète auront lieu dimanche à Fort-de-France, au terme de trois jours d’hommages. Le président Sarkozy, qui a salué en Aimé Césaire un « symbole d’espoir pour les peuples opprimés », assistera à la cérémonie. Les hommages se sont succédé, hier, à l’annonce du décès d’Aimé Césaire. L’ancien président Jacques Chirac a salué « un homme de lumière », et le secrétaire général de la Francophonie, le Sénégalais Abdou Diouf, a exprimé la « très grande émotion de toute la « famille francophone ». Et plusieurs élus, dont l’ex-candidate PS à l’Elysée Ségolène Royal, ont demandé que la Nation rende hommage au poète en l’accueillant au Panthéon, une idée à laquelle la ministre de la Culture, Christine Albanel, s’est dite favorable.
Source : http://www.letelegramme.com/gratuit/generales/france/fort-de-france-obseques-nationales-pour-aime-cesaire-20080418-2919864_1296768.php
Aimé Césaire, le père du célèbre concept de négritude ( la conscience d ’ être noir ), s’est éteint, hier, à Fort-de-France à l’âge de 94 ans. De tous les combats contre le colonialisme et le racisme pendant 70 ans, cet « éveilleur de liberté » a consacré sa vie à la littérature et à la politique. Solidaire du monde noir et de sa révolte contre le colonisateur, il se disait « fondamentalement poète, mais poète engagé » et « nègre, nègre, depuis le fond du ciel immémorial » . Fêté à l ’ université, célébré à la Comédie-Française, écrasante figure de la société martiniquaise, Aimé Césaire a écrit une œ uvre véhémente et revendicative, parfois proche du surréalisme et a eu une influence majeure sur plusieurs générations d’écrivains et d’intellectuels à travers le monde. Maire de Fort-de-France de 1945 (il n ’ avait que 32 ans) à 2001,
député de 1945 à 1993, président du c onseil régional de Martinique, il avait quitté la présidence du Parti progressiste martiniquais (PPM) en 2005.
Un surdoué
Né à Basse-Pointe , ce fils surdoué d ’ un inspecteur des impôts fut encouragé aux études par les professeurs du lycée Schoelcher de Fort-de-France. A Louis-le-Grand, à Paris, il rencontr a Léopold Sedar Senghor, le futur président sénégalais. Il rejoi gnit Normale S up et lan ça , en 1932, la revue « L ’ Etudiant noir » où, pour la première fois, des écrivains noirs réfut ai ent les modèles littéraires traditionnels. En 1939, il fit une entrée fracassante en poésie avec « Cahier d ’ un retour au pays natal » , employant, encore une première, le terme de « négritude » . Aimé Césaire a écrit des pièces comme « La Tragédie du roi Christophe », « Une saison au Congo ». En poésie, il a signé « Les Armes miraculeuses » , « Cadastre » , « Corps perdu » ou « Moi laminaire » .
Au Panthéon ?
Les obsèques nationales du poète auront lieu dimanche à Fort-de-France, au terme de trois jours d’hommages. Le président Sarkozy, qui a salué en Aimé Césaire un « symbole d’espoir pour les peuples opprimés », assistera à la cérémonie. Les hommages se sont succédé, hier, à l’annonce du décès d’Aimé Césaire. L’ancien président Jacques Chirac a salué « un homme de lumière », et le secrétaire général de la Francophonie, le Sénégalais Abdou Diouf, a exprimé la « très grande émotion de toute la « famille francophone ». Et plusieurs élus, dont l’ex-candidate PS à l’Elysée Ségolène Royal, ont demandé que la Nation rende hommage au poète en l’accueillant au Panthéon, une idée à laquelle la ministre de la Culture, Christine Albanel, s’est dite favorable.
Source : http://www.letelegramme.com/gratuit/generales/france/fort-de-france-obseques-nationales-pour-aime-cesaire-20080418-2919864_1296768.php
mercredi 16 avril 2008
Des libraires gardent Noir Canada dans les cartons
Chers amis, chers collègues,
Noir Canada aurait dû se retrouver depuis hier en librairie, mais à notre connaissance, seule la COOP de l'UQÀM n'a pas abdiqué devant les menaces de poursuite judiciaire. Elle a d'ailleurs épuisé ses stocks. Certains médias de masse semblent nous boycotter : le travail que nous avons fait en est pourtant un dont les journalistes auraient dû s'emparer depuis longtemps. Nous demeurons convaincus de la crédibilité des sources que nous avons colligées, et de la gravité des conclusions que nous avons pu en extraire : elles doivent impérativement être rendues publiques.
Pour tous ceux qui aimeraient nous soutenir, qui n'en ont pas le temps et qui sont ne serait-ce que curieux de connaître le contenu de cet ouvrage, réclamez-le en librairie, en personne, ou par téléphone.
Pour vous faire votre propre opinion sur le sérieux de notre travail : Entrevue avec Alain Deneault à CKUT, le 15 avril 2008 (prenez le temps de la télécharger, il s'agit jusqu'à présent de la seule qui fasse état de l'ensemble de notre travail)
http://secure.ckut.ca/cgi-bin/ckut-grid.pl
Émission de wednesday ; 19h ; amandla- wednesday April 16, 2008
William Sacher et Delphine Abadie
co-auteurs de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique.
Collectif Resources d'Afrique
Noir Canada aurait dû se retrouver depuis hier en librairie, mais à notre connaissance, seule la COOP de l'UQÀM n'a pas abdiqué devant les menaces de poursuite judiciaire. Elle a d'ailleurs épuisé ses stocks. Certains médias de masse semblent nous boycotter : le travail que nous avons fait en est pourtant un dont les journalistes auraient dû s'emparer depuis longtemps. Nous demeurons convaincus de la crédibilité des sources que nous avons colligées, et de la gravité des conclusions que nous avons pu en extraire : elles doivent impérativement être rendues publiques.
Pour tous ceux qui aimeraient nous soutenir, qui n'en ont pas le temps et qui sont ne serait-ce que curieux de connaître le contenu de cet ouvrage, réclamez-le en librairie, en personne, ou par téléphone.
Pour vous faire votre propre opinion sur le sérieux de notre travail : Entrevue avec Alain Deneault à CKUT, le 15 avril 2008 (prenez le temps de la télécharger, il s'agit jusqu'à présent de la seule qui fasse état de l'ensemble de notre travail)
http://secure.ckut.ca/cgi-bin/ckut-grid.pl
Émission de wednesday ; 19h ; amandla- wednesday April 16, 2008
William Sacher et Delphine Abadie
co-auteurs de Noir Canada, Pillage, corruption et criminalité en Afrique.
Collectif Resources d'Afrique
[iwc_cti] Le 4ème festival annuel de célébration des cultures et résistances ouvrières
Le 4ème festival annuel de célébration des cultures et
résistances ouvrières:
::Un mur renversé devient un pont::
La ville est un atelier de misère – vernissage et
forum public
Le vendredi 25 avril 18h30, Centre communautaire de
loisirs Côte-des-Neiges
5347 Rue Côte-Des-Neiges
(métro Côte-des-Neiges)
Vernissage d’œuvres qui portent sur l’art populaire.
Forum sur la lutte de travailleurs et travailleuses du
textile immigrantEs
Journée familiale au Parc Kent.
Le samedi 26 avril, 12h à 17h
Un événement avec musique, nourriture et ateliers qui
rassemble les travailleurs et travailleuses
immigrantEs et leurs alliéEs pour une journée de
plaisir et de célébration dans Côte-des-Neiges!
Organisé par le Centre des travailleurs et
travailleuses immigrantEs
Soirée Théâtre
Le dimanche 27 avril à 19h
Centre communautaire de loisir CDN (5347
Côte-des-Neiges)
Avec: Third Space Playback: théâtre d'improvisation
qui explore diverses expériences liées à l'identité,
au conflit, aux liens, à l'oppression sociale et à la
libération.
Common Thread Productions présentera des extraits de
"Unraveling Herstory", l'histoire vraie du parcours de
9 femmes qui révèle les récits d'une Montréal
contemporaine.
Festival de film Personne n’est illégal
Le mardi 29 avril à 19h
Une soirée de films sur les luttes en faveur de la
justice pour les migrantEs
6767 Côte-des-Neiges
Marche contre le capitalisme
Le jeudi 1er mai, 18h00
Journée internationale des travailleurs, des
travailleuses et des oppriméEs du monde entier!
Rendez-vous à 18h00, départ de la manifestation à
18h30 au coin des rues Ontario et Valois (Montréal)
L’opposition ouvrière: Lancement de livre et concert
Le vendredi 2 mai à 19h
Café Chaos (2031 St-Denis)
L’OPPOSITION OUVRIÈRE par Alexandra Kollontaï
Concert avec : Bernard & Ses Désaccords, Mitch
L'Affront Du Faim-Fond D'Notre Ruelle, Genr'Radical,
avec le Maître de célébration Norman Nawrocki (en tant
qu’animateur poète pour la soirée)
Le samedi 3 mai à 19h30
Déportation: lancement de disque dans un refuge
Le samedi 3 mai à 19h30
L’église Saint-Gabriel
Lancement du disque Déportation, par LAL Avec Kader et
2 3
« Un Statut pour tous et toutes! »
Une marche en faveur de la justice pour les
immigrantEs et contre la pauvreté, le racisme et le
profilage racial
Le dimanche 4 mai, à 12h30
Point de départ : Coin Victoria et Van Horne
(Côte-des-Neiges)
(Métro Plamondon, sortie Van Horne)
** Marche familiale – de la nourriture et des
breuvages seront offerts sur place**
*Véhicules disponibles pour les personnes à mobilité
réduite
Fighting Back: L’art et le changement social
Peintures de Eileen Young
Du 8 au 31 mai au Centre Simon Bolivar
394 de Maisoneuve Ouest, coin Bleury
Métro Place des Arts – prenez la sortie Bleury et
marchez vers l’ouest
Vernissage: Jeudi 8 mai, de 18h30 à 20h30
Mai à l’oeuvre! Montréal 2008: Tout mur renversé
devient un pont
Un festival qui célèbre les arts et la résistance de
la classe ouvrière, pour faire tomber les murs qui
divisent les victimes des injustices de la guerre, du
racisme et du néolibéralisme.
Aujourd’hui, à Montréal, les immigrantEs et les
migrantEs portent le poids de la mondialisation
économique. Le cas de l’usine Lamour Hoisery est
particulièrement éloquent : la compagnie a mis ses
employéEs à la rue pour ensuite chercher à accroître
ses profits en s’installant ailleurs. Un grand nombre
de compagnie déménagent dans les pays d’où sont
originaires ces mêmes travailleurs et travailleuses
aujourd’hui sans emploi – au Bangladesh, en Inde ou en
Chine, pour exploiter leurs frères et leurs sœurs. Les
ouvrierEs de Lamour n’ont reçu ni indemnité ni
justice. Ils et elles travaillaient dans des
conditions qui rappellent le début du siècle,
enferméEs dans l’usine la nuit, avec un syndicat
pro-direction et sans pauses de dîner.
Des travailleurs et travailleuses agricoles migrantEs
sont également forcéEs d’accepter de pitoyables
conditions de travail : ils et elles doivent quitter
le pays à chaque saison, subissent de la
discrimination et
sont parfois traitéEs comme des travailleurs et
travailleuses engagéEs à long terme. Au bout du
compte, ces personnes sont rendues invisibles.
L’ironie de la situation réside dans le fait que
Montréal est un atelier de misère qui repose sur le
dos des migrantEs et des immigrantEs. Les vêtements
que nous portons, la nourriture que nous mangeons, les
taxis dans lesquels nous voyageons dépend d’un travail
non reconnu.
Les murs de l’Apartheid en Afrique du Sud ont été
grandement condamnés. Il semble par contre moins
facile de reconnaître que les dynamiques d’oppression,
d’exploitation, de ségrégation et de racisme
institutionnalisé qui caractérisaient le régime
d’Apartheid en Afrique du Sud sont aujourd’hui
présentes à l’échelle mondiale. Le système actuel de
migration et de travail divise les gens à l’aide de
murs parfois tangibles, parfois intangibles, et
maintient le système de pouvoir et d’exploitation.
Nous devons nous rappeler que la lutte pour la dignité
va au-delà des intérêts des travailleurs et
travailleuses : il s’agit d’une lutte pour la
dignité de toutes et tous. En tant que travailleurs,
travailleurs et personnes oppriméEs, la solidarité est
l’arme dont nous disposons. C’est la solidarité qui a
mis fin à l’Apartheid en Afrique du Sud ; c’est la
solidarité qui viendra à bout de l’Apartheid en
Palestine ; c’est la solidarité qui mettra un terme
aux injustices et aux murs contre lesquels nous
luttons ici.
« L’heure est venue de nous asseoir, à nouveau
réuniEs, nous qui sommes si semblables dans nos
différences, qui sommes nous et vous tous et
toutes…Mais ceci n’est pas (pas encore, du moins)
l’intention de cette
lettre. De quoi s’agit-il, alors ? En fait, l’objet de
cette lettre est le papier, l’encre et le cœur qui se
vêtit comme l’un et se couvre de l’autre afin
d’étendre un long pont qui traverse les langues, les
couleurs, les cultures, les frontières, les armées, la
police et une quantité importante de kilomètres par le
ciel-la mer-la terre, pour arriver à cet autre cœur
que vous (et nous) portez dans votre côté gauche. »
Sous-commandant Marcos
Pour plus d’information:
iwc_cti@yahoo.com
514-342-2111
Organisé par Mai à l’œuvre! Montréal
Centre des travailleurs et travailleuses immigrantEs,
Personne n’est illégal Montréal, Solidarité sans
frontières,Sabot Art Édition, Lamour Workers
Committee, Centre for Phillipines Concern, LAL, Public
Transit Records, Comité de soutien à Kader
-------------------------------------------------------
Onward With the Struggle!
Centre des Travailleurs et Travailleuses Immigrants
Immigrant Workers Center
6420 ave. Victoria Suite 9
Montreal, Quebec
H3W-2S7
Phone: (514)342-2111 Fax: (514)342-2786
résistances ouvrières:
::Un mur renversé devient un pont::
La ville est un atelier de misère – vernissage et
forum public
Le vendredi 25 avril 18h30, Centre communautaire de
loisirs Côte-des-Neiges
5347 Rue Côte-Des-Neiges
(métro Côte-des-Neiges)
Vernissage d’œuvres qui portent sur l’art populaire.
Forum sur la lutte de travailleurs et travailleuses du
textile immigrantEs
Journée familiale au Parc Kent.
Le samedi 26 avril, 12h à 17h
Un événement avec musique, nourriture et ateliers qui
rassemble les travailleurs et travailleuses
immigrantEs et leurs alliéEs pour une journée de
plaisir et de célébration dans Côte-des-Neiges!
Organisé par le Centre des travailleurs et
travailleuses immigrantEs
Soirée Théâtre
Le dimanche 27 avril à 19h
Centre communautaire de loisir CDN (5347
Côte-des-Neiges)
Avec: Third Space Playback: théâtre d'improvisation
qui explore diverses expériences liées à l'identité,
au conflit, aux liens, à l'oppression sociale et à la
libération.
Common Thread Productions présentera des extraits de
"Unraveling Herstory", l'histoire vraie du parcours de
9 femmes qui révèle les récits d'une Montréal
contemporaine.
Festival de film Personne n’est illégal
Le mardi 29 avril à 19h
Une soirée de films sur les luttes en faveur de la
justice pour les migrantEs
6767 Côte-des-Neiges
Marche contre le capitalisme
Le jeudi 1er mai, 18h00
Journée internationale des travailleurs, des
travailleuses et des oppriméEs du monde entier!
Rendez-vous à 18h00, départ de la manifestation à
18h30 au coin des rues Ontario et Valois (Montréal)
L’opposition ouvrière: Lancement de livre et concert
Le vendredi 2 mai à 19h
Café Chaos (2031 St-Denis)
L’OPPOSITION OUVRIÈRE par Alexandra Kollontaï
Concert avec : Bernard & Ses Désaccords, Mitch
L'Affront Du Faim-Fond D'Notre Ruelle, Genr'Radical,
avec le Maître de célébration Norman Nawrocki (en tant
qu’animateur poète pour la soirée)
Le samedi 3 mai à 19h30
Déportation: lancement de disque dans un refuge
Le samedi 3 mai à 19h30
L’église Saint-Gabriel
Lancement du disque Déportation, par LAL Avec Kader et
2 3
« Un Statut pour tous et toutes! »
Une marche en faveur de la justice pour les
immigrantEs et contre la pauvreté, le racisme et le
profilage racial
Le dimanche 4 mai, à 12h30
Point de départ : Coin Victoria et Van Horne
(Côte-des-Neiges)
(Métro Plamondon, sortie Van Horne)
** Marche familiale – de la nourriture et des
breuvages seront offerts sur place**
*Véhicules disponibles pour les personnes à mobilité
réduite
Fighting Back: L’art et le changement social
Peintures de Eileen Young
Du 8 au 31 mai au Centre Simon Bolivar
394 de Maisoneuve Ouest, coin Bleury
Métro Place des Arts – prenez la sortie Bleury et
marchez vers l’ouest
Vernissage: Jeudi 8 mai, de 18h30 à 20h30
Mai à l’oeuvre! Montréal 2008: Tout mur renversé
devient un pont
Un festival qui célèbre les arts et la résistance de
la classe ouvrière, pour faire tomber les murs qui
divisent les victimes des injustices de la guerre, du
racisme et du néolibéralisme.
Aujourd’hui, à Montréal, les immigrantEs et les
migrantEs portent le poids de la mondialisation
économique. Le cas de l’usine Lamour Hoisery est
particulièrement éloquent : la compagnie a mis ses
employéEs à la rue pour ensuite chercher à accroître
ses profits en s’installant ailleurs. Un grand nombre
de compagnie déménagent dans les pays d’où sont
originaires ces mêmes travailleurs et travailleuses
aujourd’hui sans emploi – au Bangladesh, en Inde ou en
Chine, pour exploiter leurs frères et leurs sœurs. Les
ouvrierEs de Lamour n’ont reçu ni indemnité ni
justice. Ils et elles travaillaient dans des
conditions qui rappellent le début du siècle,
enferméEs dans l’usine la nuit, avec un syndicat
pro-direction et sans pauses de dîner.
Des travailleurs et travailleuses agricoles migrantEs
sont également forcéEs d’accepter de pitoyables
conditions de travail : ils et elles doivent quitter
le pays à chaque saison, subissent de la
discrimination et
sont parfois traitéEs comme des travailleurs et
travailleuses engagéEs à long terme. Au bout du
compte, ces personnes sont rendues invisibles.
L’ironie de la situation réside dans le fait que
Montréal est un atelier de misère qui repose sur le
dos des migrantEs et des immigrantEs. Les vêtements
que nous portons, la nourriture que nous mangeons, les
taxis dans lesquels nous voyageons dépend d’un travail
non reconnu.
Les murs de l’Apartheid en Afrique du Sud ont été
grandement condamnés. Il semble par contre moins
facile de reconnaître que les dynamiques d’oppression,
d’exploitation, de ségrégation et de racisme
institutionnalisé qui caractérisaient le régime
d’Apartheid en Afrique du Sud sont aujourd’hui
présentes à l’échelle mondiale. Le système actuel de
migration et de travail divise les gens à l’aide de
murs parfois tangibles, parfois intangibles, et
maintient le système de pouvoir et d’exploitation.
Nous devons nous rappeler que la lutte pour la dignité
va au-delà des intérêts des travailleurs et
travailleuses : il s’agit d’une lutte pour la
dignité de toutes et tous. En tant que travailleurs,
travailleurs et personnes oppriméEs, la solidarité est
l’arme dont nous disposons. C’est la solidarité qui a
mis fin à l’Apartheid en Afrique du Sud ; c’est la
solidarité qui viendra à bout de l’Apartheid en
Palestine ; c’est la solidarité qui mettra un terme
aux injustices et aux murs contre lesquels nous
luttons ici.
« L’heure est venue de nous asseoir, à nouveau
réuniEs, nous qui sommes si semblables dans nos
différences, qui sommes nous et vous tous et
toutes…Mais ceci n’est pas (pas encore, du moins)
l’intention de cette
lettre. De quoi s’agit-il, alors ? En fait, l’objet de
cette lettre est le papier, l’encre et le cœur qui se
vêtit comme l’un et se couvre de l’autre afin
d’étendre un long pont qui traverse les langues, les
couleurs, les cultures, les frontières, les armées, la
police et une quantité importante de kilomètres par le
ciel-la mer-la terre, pour arriver à cet autre cœur
que vous (et nous) portez dans votre côté gauche. »
Sous-commandant Marcos
Pour plus d’information:
iwc_cti@yahoo.com
514-342-2111
Organisé par Mai à l’œuvre! Montréal
Centre des travailleurs et travailleuses immigrantEs,
Personne n’est illégal Montréal, Solidarité sans
frontières,Sabot Art Édition, Lamour Workers
Committee, Centre for Phillipines Concern, LAL, Public
Transit Records, Comité de soutien à Kader
-------------------------------------------------------
Onward With the Struggle!
Centre des Travailleurs et Travailleuses Immigrants
Immigrant Workers Center
6420 ave. Victoria Suite 9
Montreal, Quebec
H3W-2S7
Phone: (514)342-2111 Fax: (514)342-2786
mardi 15 avril 2008
Noir Canada en librairie mardi 15 avril
A l'issue de la concertation avec les éditeurs, il a été décidé de publier "Noir Canada", malgré la mise en demeure de la société aurifère Barrick Gold.
Le livre sortira finalement comme prévu en librairie, demain mardi 15 avril.
La nouvelle a largement été relayée par les médias électroniques.
Il me reste à vous souhaiter bonne lecture.
Permettez-moi d'attirer votre attention sur le fait que la pratique de poursuite-baillons, qui consiste pour les riches entreprises à poursuivre des groupes de citoyens à l'aide d'armées d'avocats, est une menace directe pour la démocratie canadienne. Les ressources financières et humaines modestes dont disposent ces groupes ne leur permettent pas de s'imposer juridiquement sans une dépense de temps, d'énergie et d'argent considérables.
C'est le sérieux de notre travail qui nous convainc que notre démarche est viable et que nous sommes dans notre bon droit.
Il a consisté à colliger des faits concernant les intérêts, la présence canadienne en Afrique à partir de sources crédibles, très sérieuses, tels des journalistes d'investigation dont la réputation n'est plus à faire, des rapports d'ONG internationales telles Global Witness, Amnesty international ou encore Probe international, des rapports officiels émanants des Nations Unies, ou bien de parlements nationaux, ou encore des livres d'africanistes renommés.
Ces sources sont toutes publiques et accessibles par une simple recherche sur internet. Le travail que nous avons réalisé existait déjà virtuellement.
J'ajoute que nous avons opérer avec une éthique universitaire en référençant systématiquement les allégations dont nous faisions état, sans d'ailleurs oublier de mentionner le point de vue des personnes, qu'elles soient physiques ou morales, impliquées.
Nous sommes tombés sur de nombreux cas concernant de nombreux abus dont se sont rendus coupables des entreprises canadiennes sur le continent africain, abus qui seraient largement condamnables s'ils étaient commis ici. Il s'agît de désastres environnementaux suite à la construction de grands barrages ou à l'exploitation minière, désastres qui ont des impacts catastrophique sur la santé et les équilibres sociaux des populations touchées. Il s'agît de privatisations sauvages de chemins de fer, de corruption de fonctionnaires locaux, du financement et l'armement de seigneurs de guerres dans l'Afrique à feu et à sang des grands lacs.
La bourse de Toronto et la passivité du gouvernement canadien garantissent à ces sociétés une impunité de fait. Il n'existe aucune procédure systématique de poursuite au criminel pour des abus commis à l'étanger. Par ailleurs, le gouvernement canadien offre un soutien indéfectible à ses sociétés tant logistique et financier par l'intermédiaire de prêts ou de garanties à l'investissement via l'ACDI ou encore Exportation développement canada, que politique avec son réseau d'amabassades et de haut-commissariats.
Il nous apparaît d'autant plus important d'inscrire ce débat dans la sphère publique que les citoyens canadiens se rendent indirectement coupables de cette exploitation, en cotisant à des fonds communs de placement, de retraites et autres RÉER. La question qu'il convient de poser est donc la suivante: qu'est-ce qu'il en coûte aux populations africaines pour faire fructifier les actifs des canadiens?
William Sacher
Collectif Ressources d'Afrique
www.ressourcesdafrique.org
Ps: une revue de presse
http://www.ledevoir.com/2008/04/14/185047.html
http://www.cyberpresse.ca/article/20080413/CPARTS02/804130646/1050/CPARTS02
http://www.dominionpaper.ca/weblogs/dawn/1800
http://www.alternatives.ca/article3558.html
http://www.ledevoir.com/2008/01/19/172471.html
Le livre sortira finalement comme prévu en librairie, demain mardi 15 avril.
La nouvelle a largement été relayée par les médias électroniques.
Il me reste à vous souhaiter bonne lecture.
Permettez-moi d'attirer votre attention sur le fait que la pratique de poursuite-baillons, qui consiste pour les riches entreprises à poursuivre des groupes de citoyens à l'aide d'armées d'avocats, est une menace directe pour la démocratie canadienne. Les ressources financières et humaines modestes dont disposent ces groupes ne leur permettent pas de s'imposer juridiquement sans une dépense de temps, d'énergie et d'argent considérables.
C'est le sérieux de notre travail qui nous convainc que notre démarche est viable et que nous sommes dans notre bon droit.
Il a consisté à colliger des faits concernant les intérêts, la présence canadienne en Afrique à partir de sources crédibles, très sérieuses, tels des journalistes d'investigation dont la réputation n'est plus à faire, des rapports d'ONG internationales telles Global Witness, Amnesty international ou encore Probe international, des rapports officiels émanants des Nations Unies, ou bien de parlements nationaux, ou encore des livres d'africanistes renommés.
Ces sources sont toutes publiques et accessibles par une simple recherche sur internet. Le travail que nous avons réalisé existait déjà virtuellement.
J'ajoute que nous avons opérer avec une éthique universitaire en référençant systématiquement les allégations dont nous faisions état, sans d'ailleurs oublier de mentionner le point de vue des personnes, qu'elles soient physiques ou morales, impliquées.
Nous sommes tombés sur de nombreux cas concernant de nombreux abus dont se sont rendus coupables des entreprises canadiennes sur le continent africain, abus qui seraient largement condamnables s'ils étaient commis ici. Il s'agît de désastres environnementaux suite à la construction de grands barrages ou à l'exploitation minière, désastres qui ont des impacts catastrophique sur la santé et les équilibres sociaux des populations touchées. Il s'agît de privatisations sauvages de chemins de fer, de corruption de fonctionnaires locaux, du financement et l'armement de seigneurs de guerres dans l'Afrique à feu et à sang des grands lacs.
La bourse de Toronto et la passivité du gouvernement canadien garantissent à ces sociétés une impunité de fait. Il n'existe aucune procédure systématique de poursuite au criminel pour des abus commis à l'étanger. Par ailleurs, le gouvernement canadien offre un soutien indéfectible à ses sociétés tant logistique et financier par l'intermédiaire de prêts ou de garanties à l'investissement via l'ACDI ou encore Exportation développement canada, que politique avec son réseau d'amabassades et de haut-commissariats.
Il nous apparaît d'autant plus important d'inscrire ce débat dans la sphère publique que les citoyens canadiens se rendent indirectement coupables de cette exploitation, en cotisant à des fonds communs de placement, de retraites et autres RÉER. La question qu'il convient de poser est donc la suivante: qu'est-ce qu'il en coûte aux populations africaines pour faire fructifier les actifs des canadiens?
William Sacher
Collectif Ressources d'Afrique
www.ressourcesdafrique.org
Ps: une revue de presse
http://www.ledevoir.com/2008/04/14/185047.html
http://www.cyberpresse.ca/article/20080413/CPARTS02/804130646/1050/CPARTS02
http://www.dominionpaper.ca/weblogs/dawn/1800
http://www.alternatives.ca/article3558.html
http://www.ledevoir.com/2008/01/19/172471.html
samedi 12 avril 2008
Ressources d'Afrique est victime d'un "SLAPP"
Bonjour à touTEs,
Je tiens d'abord à remercier ceux qui étaient présents hier soir à l'occasion du lancement de "Noir Canada". Ce lancement a finalement été suspendu pour cause de mise en demeure envoyée aux auteurs et éditeurs du livre de la part de la société aurifère Barrick Gold.
Nombre d'entre vous m'ont demandé d'être tenu au courant de la suite des choses concernant ce cas désormais tristement classique de "poursuite-baillon" ou SLAPP, dont nous sommes aujourd'hui victimes.
Je vous transmets ci-dessous le communiqué de presse que Ressources d'Afrique émet aujourd'hui à propos de cette tentative d'intimidation.
bien à vous,
William Sacher.
Collectif Ressources d'Afrique.
Ressources d'Afrique est victime d'un "SLAPP"
Le lancement de NOIR CANADA, Pillage, corruption et criminalité en Afrique
été remis à cause d'une mise en demeure de la part de Barrick Gold qui, sans
avoir lu l'ouvrage, menace d'intenter une poursuite judiciaire en
diffamation contre les auteurs du Collectif Ressources d'Afrique, l'éditeur
Écosociété et les membres de son conseil d'administration. Son but est
d'empêcher la parution de l'ouvrage et, par conséquent, d'éviter la
diffusion de l'information (pourtant déjà disponible dans d'autres sources
rendues publiques). On comprendra que les moyens financiers de la puissante
société aurifère, en comparaison avec ceux des chercheurs qui ont préparé
cet ouvrage, lui permet de procéder par intimidation.
Le livre NOIR CANADA est la synthèse et l'analyse d'allégations portant sur
des abus de maints ordres que le Collectif Ressources d'Afrique a pu
colliger auprès d'un nombre considérable de sources internationales toutes
crédibles, à propos de plusieurs sociétés canadiennes présentes en Afrique.
Il est aussi fait état du soutien dont bénéficient ces sociétés de la part du gouvernement canadien.
Le débat qu'il s'est agit d'inscrire dans la sphère publique de par ce livre
est d'autant plus légitime que les actifs des Canadiens (fonds de retraite,
REER et fonds publics) sont souvent indirectement investis dans ces sociétés
via la Bourse de Toronto.
Compte tenu du sérieux de cet ouvrage, de la rigueur des informations qui y
sont citées, une telle poursuite est qualifiable de « poursuite-baîllon »
(ou SLAPP, comme on dit dans le jargon). Il s'agit d'un cas supplémentaire
qui devrait motiver le gouvernement québécois à adopter une loi contre de
telles poursuites-baîllons
William Sacher.
Collectif Ressources d'Afrique.
Je tiens d'abord à remercier ceux qui étaient présents hier soir à l'occasion du lancement de "Noir Canada". Ce lancement a finalement été suspendu pour cause de mise en demeure envoyée aux auteurs et éditeurs du livre de la part de la société aurifère Barrick Gold.
Nombre d'entre vous m'ont demandé d'être tenu au courant de la suite des choses concernant ce cas désormais tristement classique de "poursuite-baillon" ou SLAPP, dont nous sommes aujourd'hui victimes.
Je vous transmets ci-dessous le communiqué de presse que Ressources d'Afrique émet aujourd'hui à propos de cette tentative d'intimidation.
bien à vous,
William Sacher.
Collectif Ressources d'Afrique.
Ressources d'Afrique est victime d'un "SLAPP"
Le lancement de NOIR CANADA, Pillage, corruption et criminalité en Afrique
été remis à cause d'une mise en demeure de la part de Barrick Gold qui, sans
avoir lu l'ouvrage, menace d'intenter une poursuite judiciaire en
diffamation contre les auteurs du Collectif Ressources d'Afrique, l'éditeur
Écosociété et les membres de son conseil d'administration. Son but est
d'empêcher la parution de l'ouvrage et, par conséquent, d'éviter la
diffusion de l'information (pourtant déjà disponible dans d'autres sources
rendues publiques). On comprendra que les moyens financiers de la puissante
société aurifère, en comparaison avec ceux des chercheurs qui ont préparé
cet ouvrage, lui permet de procéder par intimidation.
Le livre NOIR CANADA est la synthèse et l'analyse d'allégations portant sur
des abus de maints ordres que le Collectif Ressources d'Afrique a pu
colliger auprès d'un nombre considérable de sources internationales toutes
crédibles, à propos de plusieurs sociétés canadiennes présentes en Afrique.
Il est aussi fait état du soutien dont bénéficient ces sociétés de la part du gouvernement canadien.
Le débat qu'il s'est agit d'inscrire dans la sphère publique de par ce livre
est d'autant plus légitime que les actifs des Canadiens (fonds de retraite,
REER et fonds publics) sont souvent indirectement investis dans ces sociétés
via la Bourse de Toronto.
Compte tenu du sérieux de cet ouvrage, de la rigueur des informations qui y
sont citées, une telle poursuite est qualifiable de « poursuite-baîllon »
(ou SLAPP, comme on dit dans le jargon). Il s'agit d'un cas supplémentaire
qui devrait motiver le gouvernement québécois à adopter une loi contre de
telles poursuites-baîllons
William Sacher.
Collectif Ressources d'Afrique.
Afrique : exploitation à la canadienne
Le Canada se targue d’être un pays phare en développement international. Alain Deneault, avec la sortie de son livre Noir Canada aux Éditions Écosociété remet en doute cette image de bienfaiteur. D’après ses recherches, les compagnies canadiennes, extractrices des ressources, commettent en Afrique des crimes dignes des empires coloniaux de l’époque.
Qu’il s’agisse du pétrole du Nigeria, de l’or des mines à ciel ouvert du Mali et de la Tanzanie, ou des richesses minières inépuisables des sols saccagés de la République du Congo, les canadiennes Barrick Gold, IAMGOLD, Emaxon, AMFI, Banro, Anvil et bien d’autres se partagent la plus grande part du gâteau africain. En effet, en 2003, 53 % des entreprises minières actives en Afrique étaient canadiennes. Et dans cette quête commerciale, où chaque kilomètre carré peut valoir plusieurs millions en ressources, les méthodes utilisées pour gagner ces profits mettent en péril tout l’avenir du continent.
Pillage et complicité de guerre
Ces compagnies jouissent d’une souveraineté offshore. Elles ont accès à toute une gamme de services crapuleux, allant des paradis fiscaux aux paradis judiciaires, à tout un réseau mafieux de trafics de toutes sortes. Le livre Noir Canada cite la compagnie Emaxon, basée à Montréal, qui agit à la solde du géant diamantaire International Diamond Industries. Dirigée par Dan Gertler, cette compagnie a réussi à obtenir les droits exclusifs sur l’exploitation des diamants en République démocratique du Congo (RDC), entente qualifiée de « vol institutionnalisé » par bons nombres d’observateurs internationaux, dont le Fonds monétaire international. On retrouve maintenant ce même Gertler au côté de Joseph Kabila, président de la RDC, le conseillant militairement, lui fournissant des armes et l’intégrant dans ses réseaux. Tout ça après avoir financé la guerre menée par le père, Laurent-Désiré Kabila
Lire la suite sur ....
SOURCE : http://www.alternatives.ca/article3558.html
Qu’il s’agisse du pétrole du Nigeria, de l’or des mines à ciel ouvert du Mali et de la Tanzanie, ou des richesses minières inépuisables des sols saccagés de la République du Congo, les canadiennes Barrick Gold, IAMGOLD, Emaxon, AMFI, Banro, Anvil et bien d’autres se partagent la plus grande part du gâteau africain. En effet, en 2003, 53 % des entreprises minières actives en Afrique étaient canadiennes. Et dans cette quête commerciale, où chaque kilomètre carré peut valoir plusieurs millions en ressources, les méthodes utilisées pour gagner ces profits mettent en péril tout l’avenir du continent.
Pillage et complicité de guerre
Ces compagnies jouissent d’une souveraineté offshore. Elles ont accès à toute une gamme de services crapuleux, allant des paradis fiscaux aux paradis judiciaires, à tout un réseau mafieux de trafics de toutes sortes. Le livre Noir Canada cite la compagnie Emaxon, basée à Montréal, qui agit à la solde du géant diamantaire International Diamond Industries. Dirigée par Dan Gertler, cette compagnie a réussi à obtenir les droits exclusifs sur l’exploitation des diamants en République démocratique du Congo (RDC), entente qualifiée de « vol institutionnalisé » par bons nombres d’observateurs internationaux, dont le Fonds monétaire international. On retrouve maintenant ce même Gertler au côté de Joseph Kabila, président de la RDC, le conseillant militairement, lui fournissant des armes et l’intégrant dans ses réseaux. Tout ça après avoir financé la guerre menée par le père, Laurent-Désiré Kabila
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SOURCE : http://www.alternatives.ca/article3558.html
vendredi 11 avril 2008
Forum de recrutement Elit 2008 de l'African Business Club de l'ESCP EAP le 23 avril
L’African Business Club de l’ESCP-EAP organise la 3ème édition de son Forum de recrutement annuel le 23 avril prochain. Pouvez-vous nous dire quels en sont les objectifs?
L’African Business Club de l’ESCP-EAP vise un triple objectif:
- développer un réseau de cadres et d’intellectuels sensibles aux problématiques du continent Africain
- favoriser la réflexion et les échanges au sein de ce réseau ; ainsi que l’accès à l’information
- promouvoir une meilleure image de l’Afrique en mettant en exergue toute sa richesse et ses potentialités.
Le Forum ELIT rentre donc en pleine ligne dans cette politique. Nous souhaitons œuvrer pour l’Afrique, et avoir un rôle dans le développement du continent et de ses économies. Nous pensons que le retour des élites, dans ce sens, est un axe majeur à exploiter. Nous visons donc, par notre Salon de Recrutement, à mettre à disposition des étudiants et jeunes cadres africains qui souhaitent rentrer travailler pour le continent, l’information quant aux opportunités d’emploi disponibles.
Ce Salon nous permettra aussi d’établir et de consolider les liens avec les différents acteurs de développement que sont ces futurs cadres, les recruteurs des entreprises impliquées économiquement en Afrique ; mais aussi les penseurs et décideurs qu’il nous sera arrivé de démarcher.
De plus, le Salon de Recrutement sera couplé à une Conférence, dont le thème cette année est : « L’Afrique face aux enjeux de la compétitivité internationale ». Ce thème vise clairement à réfléchir sur la nécessaire industrialisation de l’Afrique qui, de l’avis de nombreux experts, est la voie la plus à même d’impulser le décollage économique du Continent.
Mais outre l’intérêt intellectuel et économique évident d’une telle réflexion, cette conférence visera aussi la promotion de l’Afrique comme place d’investissement ; comme vivier de ressources humaines dynamiques et très bien formées ; et comme futur continent émergent.
Ainsi, le Forum ELIT’2008, comme les précédents, rentre pleinement dans le champ des objectifs qui ont présidé à la fondation de l’African Business Club.
Quels intervenants et quelles entreprises seront présentes cette année?
Nous pourrons compter sur la participation d’intervenants prestigieux et de qualité tels que :
- Barthélémy Faye, Avocat, Associé Cabinet Cleary-Gottlieb
- Didier Acouetey, Président de AfricSearch
- Zéphirin Diabre, Directeur Général Afrique & Moyen-Orient chez Areva
- Lionel Zinsou, Associé-Gérant, Rothschild
- Jean-Marc Daniel, Professeur d’Economie à l’ESCP-EAP Paris
- Jean-Paul Mvogo, Chargé d’Etudes CAPAFRIQUE
Nous attendons également la participation d’un représentant de la SFI (Société Financière Internationale), très impliquée dans les problématiques liées au Continent Africain.
La modération sera assurée par Les Afriques (Adama WADE, rédacteur en chef) et Jeune Afrique. L’African Business Club a également su jouer sur sa notoriété, son réseau de membres et parrains ; ainsi que sur les relations de confiance qu’elle a su établir avec divers responsables de ressources humaines.
Ainsi, malgré un contexte économique morose, nous avons pu mobiliser des entreprises de qualité telles que :
- Orange
- BGFI Bank
- Sfi
- Société Générale
- Petroci
- PwC
- Jeune Afrique
- Ernst & Young
- GCC
- AfricAgora
- AfricSearch
- Alcan
- Grioo
- Michael Page
Nous sommes également en négociations avancées avec d’autres entreprises, au rang desquelles :
- Atlantic Group
- Bollore
- Danond
- Deloitte
- L’Oreal
- MCKinsey
- Schneider
- Total
Votre forum en est à sa troisième édition. Bénéficiez vous d'un soutien particulier pour le réaliser?
Outre le soutien très important du Directeur Général de l’ESCP-EAP, de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris, nous bénéficions de celui de nos nombreux membres d’honneur (au rang desquels MM Didier Acouetey et Dogad Dogoui).
Mais par-dessous tout, nous savons pouvoir compter sur la confiance de nombreuses entreprises satisfaites par la qualité de nos prestations. Une mention spéciale doit être faite d’ORANGE, premier partenaire de l’African Business Club, et qui passe en priorité par nous pour pourvoir ses postes en Afrique.
Enfin, rien ne pourrait être fait sans la motivation extraordinaire et l’engagement quotidien des membres de l’African Business Club, qui réussissent à concilier leur amour pour le continent avec leurs divers impératifs scolaires ou professionnels ; et apportent le meilleur d’eux-mêmes dans la préparation de cet événement, et aussi de tous les autres que nous organisons.
A quel public s’adresse votre salon?
La cible première du Salon de Recrutement est la diaspora africaine : étudiants, jeunes cadres, qui souhaitent apporter leur pierre à la construction d’une Afrique forte, fière et ambitieuse ; ou tout simplement qui souhaitent s’informer sur les opportunités professionnelles en Afrique.
Mais nous sommes aussi ouverts à tous les amis de l’Afrique, car nous savons que le repli sur soi n’est pas porteur d’espoir et de performance. Ainsi, toute personne non-africaine, qui se sent interpellée par l’avenir du Continent, et souhaite allier ses efforts aux nôtres, est la bienvenue. Car l’Afrique n’est pas que l’affaire des Africains.
S’agissant des qualifications, nos cibles sont des diplômés ou des futurs diplômés (BAC+4/5 et plus), sans distinction de formations ni de profils (Universités, Ecoles de Commerce, Ecoles d’Ingénieurs).
Y a-t-il des innovations cette année par rapport aux années précédentes?
Je ne parlerai pas d’innovations, mais plutôt d’améliorations. Améliorations en terme de communication, tout d’abord. Cette année nous avons commencé à communiquer beaucoup plus tôt et vers un public plus large ; via divers médias audiovisuels, radiophoniques, internet et télévisuels, affichage, distribution de flyers,...
De plus, nous avons œuvré à corriger cette image d’associations d’étudiants financiers de l’ESCP-EAP dont nous souffrions tant auprès de nos cibles qu’auprès de certains recruteurs. Mais si on prend en compte les inscriptions reçues à ce jour (dont certaines viennent de province, et même d’encore plus loin) ou la participation d’entreprises telles qu’Orange, PETROCI ou Alcan ou potentiellement TOTAL et Schneider nous pensons que nous sommes en bonne voie.
Enfin, la participation de la SFI, autant que la capacité de l’African Business Club à motiver autant de recruteurs même par temps de crise aiguë, est perçue comme la récompense de 2 années de travail sérieux et de qualité ; qui plus est, en perpétuelle amélioration.
Un mot pour les internautes qui seraient intéressés?
Ceux qui sont en fin de formation, déjà diplômés, expérimentés, qui ont soif d’apprendre ou qui souhaitent répondre à l’appel des challenges professionnels en Afrique ont l'opportunité de rencontrer des entreprises qui recrutent. Nous leur donnons rendez-vous Mercredi 23 avril 2008 à l’ESCP-EAP Paris.
Comment vous contacter et comment s’inscrire?
Les inscriptions se font par envoi de CV à l’adresse e-mail elit2008@africanbusinessclub.org
Pour plus d’informations, les internautes peuvent consulter notre site web :
www.africanbusinessclub.org,
ou envoyer un mail au Pôle Communication de l’Association :
abc.diffusion@yahoo.fr
Nous tenons à clôturer ce propos en exprimant notre gratitude au Directeur Général de l’ESCP-EAP pour son soutien fort, à tous nos parrains, nos membres d’honneur ; aux entreprises et intervenants qui nous ont fait et continuent de nous faire confiance.
Adresse : ESCP-EAP Paris, 79 avenue de la République, 75011 Paris, Métro 3 – ‘Rue Saint-Maur’.
L’African Business Club de l’ESCP-EAP vise un triple objectif:
- développer un réseau de cadres et d’intellectuels sensibles aux problématiques du continent Africain
- favoriser la réflexion et les échanges au sein de ce réseau ; ainsi que l’accès à l’information
- promouvoir une meilleure image de l’Afrique en mettant en exergue toute sa richesse et ses potentialités.
Le Forum ELIT rentre donc en pleine ligne dans cette politique. Nous souhaitons œuvrer pour l’Afrique, et avoir un rôle dans le développement du continent et de ses économies. Nous pensons que le retour des élites, dans ce sens, est un axe majeur à exploiter. Nous visons donc, par notre Salon de Recrutement, à mettre à disposition des étudiants et jeunes cadres africains qui souhaitent rentrer travailler pour le continent, l’information quant aux opportunités d’emploi disponibles.
Ce Salon nous permettra aussi d’établir et de consolider les liens avec les différents acteurs de développement que sont ces futurs cadres, les recruteurs des entreprises impliquées économiquement en Afrique ; mais aussi les penseurs et décideurs qu’il nous sera arrivé de démarcher.
De plus, le Salon de Recrutement sera couplé à une Conférence, dont le thème cette année est : « L’Afrique face aux enjeux de la compétitivité internationale ». Ce thème vise clairement à réfléchir sur la nécessaire industrialisation de l’Afrique qui, de l’avis de nombreux experts, est la voie la plus à même d’impulser le décollage économique du Continent.
Mais outre l’intérêt intellectuel et économique évident d’une telle réflexion, cette conférence visera aussi la promotion de l’Afrique comme place d’investissement ; comme vivier de ressources humaines dynamiques et très bien formées ; et comme futur continent émergent.
Ainsi, le Forum ELIT’2008, comme les précédents, rentre pleinement dans le champ des objectifs qui ont présidé à la fondation de l’African Business Club.
Quels intervenants et quelles entreprises seront présentes cette année?
Nous pourrons compter sur la participation d’intervenants prestigieux et de qualité tels que :
- Barthélémy Faye, Avocat, Associé Cabinet Cleary-Gottlieb
- Didier Acouetey, Président de AfricSearch
- Zéphirin Diabre, Directeur Général Afrique & Moyen-Orient chez Areva
- Lionel Zinsou, Associé-Gérant, Rothschild
- Jean-Marc Daniel, Professeur d’Economie à l’ESCP-EAP Paris
- Jean-Paul Mvogo, Chargé d’Etudes CAPAFRIQUE
Nous attendons également la participation d’un représentant de la SFI (Société Financière Internationale), très impliquée dans les problématiques liées au Continent Africain.
La modération sera assurée par Les Afriques (Adama WADE, rédacteur en chef) et Jeune Afrique. L’African Business Club a également su jouer sur sa notoriété, son réseau de membres et parrains ; ainsi que sur les relations de confiance qu’elle a su établir avec divers responsables de ressources humaines.
Ainsi, malgré un contexte économique morose, nous avons pu mobiliser des entreprises de qualité telles que :
- Orange
- BGFI Bank
- Sfi
- Société Générale
- Petroci
- PwC
- Jeune Afrique
- Ernst & Young
- GCC
- AfricAgora
- AfricSearch
- Alcan
- Grioo
- Michael Page
Nous sommes également en négociations avancées avec d’autres entreprises, au rang desquelles :
- Atlantic Group
- Bollore
- Danond
- Deloitte
- L’Oreal
- MCKinsey
- Schneider
- Total
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Outre le soutien très important du Directeur Général de l’ESCP-EAP, de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris, nous bénéficions de celui de nos nombreux membres d’honneur (au rang desquels MM Didier Acouetey et Dogad Dogoui).
Mais par-dessous tout, nous savons pouvoir compter sur la confiance de nombreuses entreprises satisfaites par la qualité de nos prestations. Une mention spéciale doit être faite d’ORANGE, premier partenaire de l’African Business Club, et qui passe en priorité par nous pour pourvoir ses postes en Afrique.
Enfin, rien ne pourrait être fait sans la motivation extraordinaire et l’engagement quotidien des membres de l’African Business Club, qui réussissent à concilier leur amour pour le continent avec leurs divers impératifs scolaires ou professionnels ; et apportent le meilleur d’eux-mêmes dans la préparation de cet événement, et aussi de tous les autres que nous organisons.
A quel public s’adresse votre salon?
La cible première du Salon de Recrutement est la diaspora africaine : étudiants, jeunes cadres, qui souhaitent apporter leur pierre à la construction d’une Afrique forte, fière et ambitieuse ; ou tout simplement qui souhaitent s’informer sur les opportunités professionnelles en Afrique.
Mais nous sommes aussi ouverts à tous les amis de l’Afrique, car nous savons que le repli sur soi n’est pas porteur d’espoir et de performance. Ainsi, toute personne non-africaine, qui se sent interpellée par l’avenir du Continent, et souhaite allier ses efforts aux nôtres, est la bienvenue. Car l’Afrique n’est pas que l’affaire des Africains.
S’agissant des qualifications, nos cibles sont des diplômés ou des futurs diplômés (BAC+4/5 et plus), sans distinction de formations ni de profils (Universités, Ecoles de Commerce, Ecoles d’Ingénieurs).
Y a-t-il des innovations cette année par rapport aux années précédentes?
Je ne parlerai pas d’innovations, mais plutôt d’améliorations. Améliorations en terme de communication, tout d’abord. Cette année nous avons commencé à communiquer beaucoup plus tôt et vers un public plus large ; via divers médias audiovisuels, radiophoniques, internet et télévisuels, affichage, distribution de flyers,...
De plus, nous avons œuvré à corriger cette image d’associations d’étudiants financiers de l’ESCP-EAP dont nous souffrions tant auprès de nos cibles qu’auprès de certains recruteurs. Mais si on prend en compte les inscriptions reçues à ce jour (dont certaines viennent de province, et même d’encore plus loin) ou la participation d’entreprises telles qu’Orange, PETROCI ou Alcan ou potentiellement TOTAL et Schneider nous pensons que nous sommes en bonne voie.
Enfin, la participation de la SFI, autant que la capacité de l’African Business Club à motiver autant de recruteurs même par temps de crise aiguë, est perçue comme la récompense de 2 années de travail sérieux et de qualité ; qui plus est, en perpétuelle amélioration.
Un mot pour les internautes qui seraient intéressés?
Ceux qui sont en fin de formation, déjà diplômés, expérimentés, qui ont soif d’apprendre ou qui souhaitent répondre à l’appel des challenges professionnels en Afrique ont l'opportunité de rencontrer des entreprises qui recrutent. Nous leur donnons rendez-vous Mercredi 23 avril 2008 à l’ESCP-EAP Paris.
Comment vous contacter et comment s’inscrire?
Les inscriptions se font par envoi de CV à l’adresse e-mail elit2008@africanbusinessclub.org
Pour plus d’informations, les internautes peuvent consulter notre site web :
www.africanbusinessclub.org,
ou envoyer un mail au Pôle Communication de l’Association :
abc.diffusion@yahoo.fr
Nous tenons à clôturer ce propos en exprimant notre gratitude au Directeur Général de l’ESCP-EAP pour son soutien fort, à tous nos parrains, nos membres d’honneur ; aux entreprises et intervenants qui nous ont fait et continuent de nous faire confiance.
Adresse : ESCP-EAP Paris, 79 avenue de la République, 75011 Paris, Métro 3 – ‘Rue Saint-Maur’.
Organiser des obsèques en AFRIQUE est devenu un réel problème de société.
PARTAGE DE LECTURE
Comme vous le savez , une bonne partie de l'argent envoyé par la diaspora dans leurs pays d'origine est consacrée aux cérémonies funèbres.
http://togo-demain.blogspot.com
Comme vous le savez , une bonne partie de l'argent envoyé par la diaspora dans leurs pays d'origine est consacrée aux cérémonies funèbres.
http://togo-demain.blogspot.com
4 MAI: UN STATUT POUR TOU(TE)S! Marche pour les droits des immigrants à Côte-des-neiges
UN STATUT POUR TOUTES ET TOUS!
Justice pour les immigrants et les immigrantes
Non à la pauvreté, au racisme et au profilage racial
LE DIMANCHE 4 MAI à 12h30
Point de départ: au coin des rues Victoria et Van Horne
à CÔTE-DES-NEIGES
(métro Plamondon, sortie Van Horne)
Bienvenue aux enfants!
Nourriture et breuvages sur place
Véhicules disponibles au besoin pour personnes à mobilité réduite
Dans le cadre des journées nationales d'action pour les droits des immigrants et immigrantes, Solidarité sans frontières prendra de nouveau les rues pour exiger la justice et la dignité pour toutes les personnes migrantes. Nous marcherons en opposition aux déportations et aux détentions, et pour demander un STATUT POUR TOUTES ET TOUS!
Nous marchons parce que, pour nous, il n'existe pas d'être humain qui soit "illégal": il n'y a que des lois injustes et des gouvernements illégitimes.
À tous les jours, nous luttons contre les déportations et les détentions, nous nous battons pour obtenir justice dans nos lieux de travail, nous revendiquons des logements sécuritaires et décents et nous nous opposons au racisme et au profilage racial. À mille lieux de la xénophobie promue par le soi-disant débat des "accommodements raisonnables", nous prendrons les rues pour fêter nos luttes collectives pour la justice et la dignité, dans toute leur diversité et leur force.
Cette année, nous marcherons à travers les rues de Côte-des-Neiges, un quartier majoritairement ouvrier et immigrant. Notre manifestation marquera le point culminant du festival Mai à l'oeuvre!, un festival de la culture ouvrière, organisé chaque année par le Centre des travailleurs et travailleuses immigrant-es de Montréal (IWC-CTI). Notre marche s'inscrit également dans la tradition du 1er mai, en hommage aux luttes menées par les travailleuses et les travailleurs partout dans le monde.
Soyez des nôtres! Amenez votre famille et vos ami-es, vos voisins, voisines et vos collègues de travail. Le dimanche 4 mai prochain, ajoutez votre voix et votre présence à celles d’un nombre grandissant d'individus à Montréal et ailleurs qui exigent un "STATUT POUR TOUTES ET TOUS!"
Immigrants, travailleurs, même combat! Ni frontières, ni prisons, arrêtons les déportations!
INFO: sansfrontieres@resist.ca – 514 848-7583 - www.solidaritesansfrontieres.org
Source : http://www.solidarityacrossborders.org/fr/node/240
Justice pour les immigrants et les immigrantes
Non à la pauvreté, au racisme et au profilage racial
LE DIMANCHE 4 MAI à 12h30
Point de départ: au coin des rues Victoria et Van Horne
à CÔTE-DES-NEIGES
(métro Plamondon, sortie Van Horne)
Bienvenue aux enfants!
Nourriture et breuvages sur place
Véhicules disponibles au besoin pour personnes à mobilité réduite
Dans le cadre des journées nationales d'action pour les droits des immigrants et immigrantes, Solidarité sans frontières prendra de nouveau les rues pour exiger la justice et la dignité pour toutes les personnes migrantes. Nous marcherons en opposition aux déportations et aux détentions, et pour demander un STATUT POUR TOUTES ET TOUS!
Nous marchons parce que, pour nous, il n'existe pas d'être humain qui soit "illégal": il n'y a que des lois injustes et des gouvernements illégitimes.
À tous les jours, nous luttons contre les déportations et les détentions, nous nous battons pour obtenir justice dans nos lieux de travail, nous revendiquons des logements sécuritaires et décents et nous nous opposons au racisme et au profilage racial. À mille lieux de la xénophobie promue par le soi-disant débat des "accommodements raisonnables", nous prendrons les rues pour fêter nos luttes collectives pour la justice et la dignité, dans toute leur diversité et leur force.
Cette année, nous marcherons à travers les rues de Côte-des-Neiges, un quartier majoritairement ouvrier et immigrant. Notre manifestation marquera le point culminant du festival Mai à l'oeuvre!, un festival de la culture ouvrière, organisé chaque année par le Centre des travailleurs et travailleuses immigrant-es de Montréal (IWC-CTI). Notre marche s'inscrit également dans la tradition du 1er mai, en hommage aux luttes menées par les travailleuses et les travailleurs partout dans le monde.
Soyez des nôtres! Amenez votre famille et vos ami-es, vos voisins, voisines et vos collègues de travail. Le dimanche 4 mai prochain, ajoutez votre voix et votre présence à celles d’un nombre grandissant d'individus à Montréal et ailleurs qui exigent un "STATUT POUR TOUTES ET TOUS!"
Immigrants, travailleurs, même combat! Ni frontières, ni prisons, arrêtons les déportations!
INFO: sansfrontieres@resist.ca – 514 848-7583 - www.solidaritesansfrontieres.org
Source : http://www.solidarityacrossborders.org/fr/node/240
mardi 8 avril 2008
L’hémorragie de la "fuite des cerveaux" africains : L’Occident grand gagnant
Chercheurs, informaticiens, médecins, personnels hautement qualifiés, l’Afrique se vide de sa matière grise et de ses compétences. La fuite des cerveaux est un des maux endémiques du continent. Un préjudice subi au profit de l’Occident qui récupère les bénéfices de longues années de formation.
La Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) estiment qu’entre 1960 et 1975, 27000 Africains ont quitté le continent pour les pays industrialisés. De 1975 à 1984, ce chiffre a atteint 40000. On estime que depuis 1990, chaque année 20000 personnes au moins quittent le continent.
Les professionnels africains tendent à émigrer en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord. Les crises économiques et politiques qui s’abattent sur le continent depuis quelques décennies dissuadent un grand nombre de rentrer au pays. Crises économiques, taux de chômage élevé, violations des droits de l’homme, conflits armés et manque de services sociaux adaptés, tels la santé et l’éducation, figurent parmi ces facteurs de dissuasion.
Perte de main d’œuvre qualifiée
La fuite des cerveaux se produit, dit-on, lorsqu’un pays perd sa main d’oeuvre qualifiée en raison de l’émigration. Le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) note qu’en Afrique, l’élément le plus frappant est l’exil des médecins. Au moins 60 % des médecins formés au Ghana dans les années 80 ont quitté le pays.
Les pays industrialisés ont de plus en plus besoin de deux catégories d’immigrés : ceux qui sont prêts à accepter des emplois mal payés, durs et dangereux, dédaignés par leurs propres ressortissants, et des professionnels hautement qualifiés, tels les experts en logiciels, les ingénieurs, les médecins et le personnel infirmier. Il manque actuellement 126000 infirmiers aux Etats-Unis et les chiffres officiels montrent que le déficit en infirmiers qualifiés pourrait atteindre 800000 d’ici à 2020.
Stopper l’hémorragie
En raison de ces déficits, les pays industrialisés se sont lancés dans de grandes campagnes de recrutement à l’étranger. L’Afrique du Sud a récemment demandé aux pouvoirs publics canadiens qu’ils arrêtent de recruter leur personnel médical qualifié. Dans la province rurale du Saskatchewan, au Canada, plus de 50 % des médecins ont été formés à l’étranger, et au moins un cinquième des 1 530 médecins de la région ont obtenu leur premier diplôme de médecine en Afrique du Sud. D’après le Secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, il est clair que la coopération internationale est nécessaire. "Les choix faciles ou les solutions simples n’existent pas", dit-il.
Ce phénomène "pèse d’un poids très lourd sur le continent", note Mme Ndioro Ndiaye, Directrice générale adjointe de l’OIM. Pour compenser le manque d’effectifs qualifiés, les pays africains consacrent chaque année environ 4 milliards de dollars à l’emploi d’environ 100000 expatriés non africains. "Il est grand temps de mettre en place des programmes et des politiques qui inverseront les effets dévastateurs de la fuite des cerveaux", dit-elle.
Prise de conscience politique
Jusqu’à récemment, les pouvoirs publics africains ne semblaient pas s’inquiéter outre mesure du déficit de main d’oeuvre qualifiée, tandis que les organismes de financement du développement aggravaient souvent le problème en obligeant les pays bénéficiaires à engager des expatriés étrangers comme condition à l’octroi de prêts. De plus, les hommes politiques disaient de leurs compatriotes ayant choisi de travailler et de vivre à l’étranger qu’ils n’étaient pas de bons patriotes. Mais la montée en flèche de l’émigration de personnes qualifiées et les graves carences du continent sur le plan des ressources humaines en ont conduit plus d’un à changer d’avis.
Mais ces déclarations d’intention doivent se traduire par des actes et des problèmes plus profonds devront être résolus avant que la fuite des cerveaux ne puisse être jugulée. Nombre d’Africains sont très désireux de rentrer chez eux et de participer au développement, mais leurs aspirations sont "sérieusement compromises par des pouvoirs publics négligents dont les priorités ... ignorent le bien-être social", dit M. Kwaku Asante Darko, conférencier à l’Université nationale du Lesotho. M. Darko, qui est ghanéen, indique que tant que les facteurs conduisant à l’émigration persisteront, il "serait catastrophique" de penser résoudre le manque d’effectif sur le continent par un retour immédiat au pays des Africains qualifiés.
Octobre 2003
Source: http://www.un.org/french/ecosocdev/geninfo/afrec/
La Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) estiment qu’entre 1960 et 1975, 27000 Africains ont quitté le continent pour les pays industrialisés. De 1975 à 1984, ce chiffre a atteint 40000. On estime que depuis 1990, chaque année 20000 personnes au moins quittent le continent.
Les professionnels africains tendent à émigrer en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord. Les crises économiques et politiques qui s’abattent sur le continent depuis quelques décennies dissuadent un grand nombre de rentrer au pays. Crises économiques, taux de chômage élevé, violations des droits de l’homme, conflits armés et manque de services sociaux adaptés, tels la santé et l’éducation, figurent parmi ces facteurs de dissuasion.
Perte de main d’œuvre qualifiée
La fuite des cerveaux se produit, dit-on, lorsqu’un pays perd sa main d’oeuvre qualifiée en raison de l’émigration. Le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) note qu’en Afrique, l’élément le plus frappant est l’exil des médecins. Au moins 60 % des médecins formés au Ghana dans les années 80 ont quitté le pays.
Les pays industrialisés ont de plus en plus besoin de deux catégories d’immigrés : ceux qui sont prêts à accepter des emplois mal payés, durs et dangereux, dédaignés par leurs propres ressortissants, et des professionnels hautement qualifiés, tels les experts en logiciels, les ingénieurs, les médecins et le personnel infirmier. Il manque actuellement 126000 infirmiers aux Etats-Unis et les chiffres officiels montrent que le déficit en infirmiers qualifiés pourrait atteindre 800000 d’ici à 2020.
Stopper l’hémorragie
En raison de ces déficits, les pays industrialisés se sont lancés dans de grandes campagnes de recrutement à l’étranger. L’Afrique du Sud a récemment demandé aux pouvoirs publics canadiens qu’ils arrêtent de recruter leur personnel médical qualifié. Dans la province rurale du Saskatchewan, au Canada, plus de 50 % des médecins ont été formés à l’étranger, et au moins un cinquième des 1 530 médecins de la région ont obtenu leur premier diplôme de médecine en Afrique du Sud. D’après le Secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, il est clair que la coopération internationale est nécessaire. "Les choix faciles ou les solutions simples n’existent pas", dit-il.
Ce phénomène "pèse d’un poids très lourd sur le continent", note Mme Ndioro Ndiaye, Directrice générale adjointe de l’OIM. Pour compenser le manque d’effectifs qualifiés, les pays africains consacrent chaque année environ 4 milliards de dollars à l’emploi d’environ 100000 expatriés non africains. "Il est grand temps de mettre en place des programmes et des politiques qui inverseront les effets dévastateurs de la fuite des cerveaux", dit-elle.
Prise de conscience politique
Jusqu’à récemment, les pouvoirs publics africains ne semblaient pas s’inquiéter outre mesure du déficit de main d’oeuvre qualifiée, tandis que les organismes de financement du développement aggravaient souvent le problème en obligeant les pays bénéficiaires à engager des expatriés étrangers comme condition à l’octroi de prêts. De plus, les hommes politiques disaient de leurs compatriotes ayant choisi de travailler et de vivre à l’étranger qu’ils n’étaient pas de bons patriotes. Mais la montée en flèche de l’émigration de personnes qualifiées et les graves carences du continent sur le plan des ressources humaines en ont conduit plus d’un à changer d’avis.
Mais ces déclarations d’intention doivent se traduire par des actes et des problèmes plus profonds devront être résolus avant que la fuite des cerveaux ne puisse être jugulée. Nombre d’Africains sont très désireux de rentrer chez eux et de participer au développement, mais leurs aspirations sont "sérieusement compromises par des pouvoirs publics négligents dont les priorités ... ignorent le bien-être social", dit M. Kwaku Asante Darko, conférencier à l’Université nationale du Lesotho. M. Darko, qui est ghanéen, indique que tant que les facteurs conduisant à l’émigration persisteront, il "serait catastrophique" de penser résoudre le manque d’effectif sur le continent par un retour immédiat au pays des Africains qualifiés.
Octobre 2003
Source: http://www.un.org/french/ecosocdev/geninfo/afrec/
Former et se former:Le défi des Petits dans le monde des Grands
Vivre dans un monde globalisé, c’est vivre dans un monde de compétition économique exacerbée où les limites spatiales et temporaires sont brouillées. Simple construction symbolique ou réalité ? De toute évidence, la vogue du concept de mondialisation est annonciatrice d’une autre façon de vivre l’espace et le temps. Une façon d’organiser la production de la richesse, aussi. En économie politique, en vingt ans, le principe des avantages concurrentiels s’est progressivement substitué au principe des avantages comparatifs. Et suivant cette option, l’économie du savoir structure le nouveau monde dans lequel le savoir est devenu le principal facteur d’inégalité entre les nations.
Du fait de la mondialisation, les sociétés sont prises dans une tourmente, contraintes à une véritable mue. Pour répondre aux exigences politiques, économiques et surtout intellectuelles de gestion de cette transformation au forceps, il faut des hommes dotés de la ressource-savoir (savoir, savoir-faire et savoir-être) adaptée aux nouveaux enjeux d’un monde en perpétuel recomposition. D’autant plus que le siècle qui débute interdit tout recours aux kits idéologiques du passé qui n’offre aucune recette pour gérer le présent. Puisqu’il n’existe plus de modèles transposables ici et ailleurs, plus que jamais, la réinvention permanente du « soi collectif » est désormais un impératif.
Dans les pays du Nord, l’existence d’un espace public favorise une mise en débat des questions nouvelles même si la recherche de solution n’est pas évidente. Des mécanismes de mise en compétition des intérêts et de régulation politique toujours renégociés, travaillent à la transformation de ces sociétés de l’intérieur. La logique du questionnement et de la remise en question est poussée au bout, au nom des principes de responsabilité et de précaution qui fonctionnent comme des philosophies régulatrices. Le champ du possible est exploré par la science tandis que la ethnoscience expérimente la créativité grandeur nature. Le débat éthique s’interpose avec plus ou moins de succès pour freiner ceux que Benveniste appelle les "Ayatollahs de la science", insuffler un peu plus de transparence dans l’activité technoscientifique, réguler les usages qui peuvent en être faits. Les affaires de "sang contaminé", de "vaches folles", de contamination à la dioxine peuvent être utilisés par les esprits conservateurs pour créer la peur en entretenant la confusion entre l’exploration des capacités du potentiel scientifique et la machinerie scientifico-technique et politique qui en use et en abuse. Mais, c’est oublier que l’histoire de l’humanité est faite aussi de ratés. La force d’une société tient dans sa propension à cultiver la prise de risques du savoir et les savoirs du risque, à donner sens aux échecs qui peuvent en résulter, mais surtout à tirer leçons de ces échecs.
La quête de vérité, la quête des choses cachées par la nature, n’a pas de prix, même si elle a un coût. De plus, les philosophes pragmatistes américains comme Charles Sanders, Peirce, William James ajouteront que ces vérités ne sont pas immuables. Car toute vérité est tout simplement une connaissance plus ou moins utile à un moment donné de l’histoire. Et cela vaut autant pour les croyances ordinaires, les connaissances scientifiques, les valeurs morales que pour les doctrines politiques. Le principe de dévoilement au cœur de la production explicite de ces “ connaissances utiles ” est une force incontestable de l’Occident. Il n’y a aucun complexe à le reconnaître. L’Europe occidentale a vite compris que le tout n’est pas d’être le père de telle ou telle autre invention. Il est plus essentiel d’en assurer la pérennité et la diffusion. Sur la base de ce principe, l’Europe et son extension (Les Etats-Unis) sont devenues la pompe à propulsion de connaissances qui ont parfois leurs souches ailleurs. Le culte de la connaissance y justifie la mise en place des instruments de sa production et de sa reproduction (laboratoires et centres de recherche, réseaux de circulation de l’information, universités et écoles de formations spécialisées, supports électroniques). Ces instruments fondent les piliers de leur domination économique, politique et culturelle dans et sur le monde. L’Europe et les Etats-Unis auront montré que la force d’une société se mesure moins à sa richesse en ressources naturelles qu’à l’aune de ressources humaines de qualité parce que capables de relever des défis existentiels. Leçon de choses cachées pour les Petits de ce monde : Eduquer plus et mieux doit être le défi à relever. Car, tout enfant éduqué, formé et surtout bien formé est une haute valeur ajoutée à la société.
31 mars 2008
Prof. Francis AKINDES
Université de Bouaké / IRD Petit Bassam
BP 1245 Abidjan 06 Côte d'Ivoire
Autre email : akindes@ird.ci
Source : AFROLOGY
Du fait de la mondialisation, les sociétés sont prises dans une tourmente, contraintes à une véritable mue. Pour répondre aux exigences politiques, économiques et surtout intellectuelles de gestion de cette transformation au forceps, il faut des hommes dotés de la ressource-savoir (savoir, savoir-faire et savoir-être) adaptée aux nouveaux enjeux d’un monde en perpétuel recomposition. D’autant plus que le siècle qui débute interdit tout recours aux kits idéologiques du passé qui n’offre aucune recette pour gérer le présent. Puisqu’il n’existe plus de modèles transposables ici et ailleurs, plus que jamais, la réinvention permanente du « soi collectif » est désormais un impératif.
Dans les pays du Nord, l’existence d’un espace public favorise une mise en débat des questions nouvelles même si la recherche de solution n’est pas évidente. Des mécanismes de mise en compétition des intérêts et de régulation politique toujours renégociés, travaillent à la transformation de ces sociétés de l’intérieur. La logique du questionnement et de la remise en question est poussée au bout, au nom des principes de responsabilité et de précaution qui fonctionnent comme des philosophies régulatrices. Le champ du possible est exploré par la science tandis que la ethnoscience expérimente la créativité grandeur nature. Le débat éthique s’interpose avec plus ou moins de succès pour freiner ceux que Benveniste appelle les "Ayatollahs de la science", insuffler un peu plus de transparence dans l’activité technoscientifique, réguler les usages qui peuvent en être faits. Les affaires de "sang contaminé", de "vaches folles", de contamination à la dioxine peuvent être utilisés par les esprits conservateurs pour créer la peur en entretenant la confusion entre l’exploration des capacités du potentiel scientifique et la machinerie scientifico-technique et politique qui en use et en abuse. Mais, c’est oublier que l’histoire de l’humanité est faite aussi de ratés. La force d’une société tient dans sa propension à cultiver la prise de risques du savoir et les savoirs du risque, à donner sens aux échecs qui peuvent en résulter, mais surtout à tirer leçons de ces échecs.
La quête de vérité, la quête des choses cachées par la nature, n’a pas de prix, même si elle a un coût. De plus, les philosophes pragmatistes américains comme Charles Sanders, Peirce, William James ajouteront que ces vérités ne sont pas immuables. Car toute vérité est tout simplement une connaissance plus ou moins utile à un moment donné de l’histoire. Et cela vaut autant pour les croyances ordinaires, les connaissances scientifiques, les valeurs morales que pour les doctrines politiques. Le principe de dévoilement au cœur de la production explicite de ces “ connaissances utiles ” est une force incontestable de l’Occident. Il n’y a aucun complexe à le reconnaître. L’Europe occidentale a vite compris que le tout n’est pas d’être le père de telle ou telle autre invention. Il est plus essentiel d’en assurer la pérennité et la diffusion. Sur la base de ce principe, l’Europe et son extension (Les Etats-Unis) sont devenues la pompe à propulsion de connaissances qui ont parfois leurs souches ailleurs. Le culte de la connaissance y justifie la mise en place des instruments de sa production et de sa reproduction (laboratoires et centres de recherche, réseaux de circulation de l’information, universités et écoles de formations spécialisées, supports électroniques). Ces instruments fondent les piliers de leur domination économique, politique et culturelle dans et sur le monde. L’Europe et les Etats-Unis auront montré que la force d’une société se mesure moins à sa richesse en ressources naturelles qu’à l’aune de ressources humaines de qualité parce que capables de relever des défis existentiels. Leçon de choses cachées pour les Petits de ce monde : Eduquer plus et mieux doit être le défi à relever. Car, tout enfant éduqué, formé et surtout bien formé est une haute valeur ajoutée à la société.
31 mars 2008
Prof. Francis AKINDES
Université de Bouaké / IRD Petit Bassam
BP 1245 Abidjan 06 Côte d'Ivoire
Autre email : akindes@ird.ci
Source : AFROLOGY
dimanche 6 avril 2008
4ème édition de la Journée Africaine
4ème édition de la Journée Africaine
À l’Écomusée du fier monde
samedi le 26 avril 2008 de 13h à 18h
Montréal, le 11 avril 2008 – Le grand public est invité à la 4ème édition de la Journée africaine qui se tiendra à l’Écomusée du fier monde le 26 avril prochain. Ce sera une occasion de découvrir des troupes culturelles, des organismes communautaires et des associations africaines qui se sont intégrés à la société québécoise et qui travaillent au rapprochement interculturel. A travers des kiosques, des activités interactives, des spectacles et des bouchées aux saveurs africaines, laissez-vous séduire par leur dynamisme et leur créativité.
Cette Journée africaine est présentée par les groupes et organismes partenaires du Centre Afrika en collaboration avec l’Écomusée du fier monde. Bienvenue à tous !
Un rendez-vous à ne pas manquer !
L’entrée est gratuite !
L’Écomusée du fier monde est situé au 2050 rue Amherst à Montréal, angle Ontario (Métro Berri-UQAM).
Le programme détaillé de la journée est sur le site Internet du Centre Afrika à :
http://www.centreafrika.com/journeeafricaine2008.htm
Renseignements :
(514) 843-4019
À l’Écomusée du fier monde
samedi le 26 avril 2008 de 13h à 18h
Montréal, le 11 avril 2008 – Le grand public est invité à la 4ème édition de la Journée africaine qui se tiendra à l’Écomusée du fier monde le 26 avril prochain. Ce sera une occasion de découvrir des troupes culturelles, des organismes communautaires et des associations africaines qui se sont intégrés à la société québécoise et qui travaillent au rapprochement interculturel. A travers des kiosques, des activités interactives, des spectacles et des bouchées aux saveurs africaines, laissez-vous séduire par leur dynamisme et leur créativité.
Cette Journée africaine est présentée par les groupes et organismes partenaires du Centre Afrika en collaboration avec l’Écomusée du fier monde. Bienvenue à tous !
Un rendez-vous à ne pas manquer !
L’entrée est gratuite !
L’Écomusée du fier monde est situé au 2050 rue Amherst à Montréal, angle Ontario (Métro Berri-UQAM).
Le programme détaillé de la journée est sur le site Internet du Centre Afrika à :
http://www.centreafrika.com/journeeafricaine2008.htm
Renseignements :
(514) 843-4019
jeudi 3 avril 2008
JEUNES CITOYENS DU MONDE - BOURSE de $20,000
JEUNES CITOYENS DU MONDE - BOURSE de $20,000
La Fondation Walter et Duncan Gordon a le plaisir de vous
annoncer l'appel à candidature pour son programme de bourse de
recherche des jeunes citoyens du monde 2008. La bourse
de recherche s'adresse aux jeunes chefs de fil Canadiens,
hommes ou femmes, possédant un potentiel pour améliorer
le rôle du Canada sur la scène internationale.
Pour être admissible: citoyenneté canadienne ou résident permanent
âgé de 24 – 35 avec une expérience internationale (professionnelle
ou bénévole) Date limite: Le jeudi 10 avril 2008 à 17h00.
Information s sur le Web: www.gordonfn.org
La Fondation Walter et Duncan Gordon a le plaisir de vous
annoncer l'appel à candidature pour son programme de bourse de
recherche des jeunes citoyens du monde 2008. La bourse
de recherche s'adresse aux jeunes chefs de fil Canadiens,
hommes ou femmes, possédant un potentiel pour améliorer
le rôle du Canada sur la scène internationale.
Pour être admissible: citoyenneté canadienne ou résident permanent
âgé de 24 – 35 avec une expérience internationale (professionnelle
ou bénévole) Date limite: Le jeudi 10 avril 2008 à 17h00.
Information s sur le Web: www.gordonfn.org
Conférence sur le thème: «Déconstruire l’idéologie raciste sur l’Afrique et les Africain-e-s d’origine et d’ascendance : du côté des femmes.»
FEMMES AFRICAINES, Horizon 2015 (FAH2015)
6585, Chemin Côte-des-Neiges, bureau 111, Montréal (Québec) H3S 2A5
E-mail : info@fah2015.org Site Web : www.fah2015.org
COMMUNIQUÉ
Montréal le 31 mars 2008 _ Dans le cadre de la Semaine québécoise contre le racisme, la discrimination et la xénophobie, le Réseau «FEMMES AFRICAINES, Horizon 2015 (FAH2015)» vous convie à une conférence-débat, le samedi 5 avril 2008 au 6767, Chemin de la Côte des Neiges, à partir de 15h précises.
Animée par Dre Aoua Bocar LY, sociologue, chercheure associée à l’Institut des Études des Femmes de l’Université d’Ottawa et présidente-fondatrice du Réseau FAH2015, cette conférence portera sur le thème: «Déconstruire l’idéologie raciste sur l’Afrique et les Africain-e-s d’origine et d’ascendance : du côté des femmes.»
Selon la conférencière : «hier c’était l’esclavage qui avait fait très mal à l’Afrique Noire en pompant de 10 à 100 Millions de ses fils et filles dont le quart a trouvé la mort en cours de route vers le Nouveau Monde, qu’ils sont venus développer, aujourd’hui, c’est l’idéologie esclavagiste qui cause du tort aux Africain-e-s d’origine et d’ascendance. "Savamment inoculée dans les mentalités" (Cheikh Anta DIOP), celle-ci détermine les attitudes et les comportements vis-à-vis des communautés noires. C’est fort de l’idée que ce sont des êtres inférieurs que beaucoup de citoyen-ne-s de race blanche, de façon consciente ou inconsciente, exercent sur elles toutes sortes de discriminations (marginalisation, exclusion à l’emploi, profilage racial, etc.). Ces injustices qui perdurent depuis cinq siècles ont engendré une certaine violence qui menace la paix et la sécurité mondiales. Pour vivre ensemble, en harmonie et en paix, il est important de déconstruire cette idéologie raciste et de rétablir la vérité historique sur l’Afrique et les Africain-e-s. Dans cette entreprise de réconciliation de l’Humanité, le Québec, en tant que Nation Blanche ayant connu l’oppression et l’injustice, a un rôle capital à jouer, surtout en cette année de commémoration du 400ème anniversaire de sa capitale nationale vers laquelle tous les peuples du monde vont converger durant l’été.»
Ce sera là le cœur de l’intervention de la conférencière qui introduira ce sujet d’actualité avant les débats.
«Femmes africaines, Horizon 2015 (FAH2015)» est un Réseau d’Africaines d’origine, d’ascendance et de cœur, intervenantes sociales et spécialistes du développement humain. Leur mission est de bâtir des relations harmonieuses entre leur communauté et les membres de la société d’accueil, surtout les femmes, et d’œuvrer pour l’intégration pleine et entière des Africaines au Québec. L’éducation, l’information et la communication (IEC) sont leurs moyens privilégiés d’intervention. FAH2015 agissent principalement sur trois programmes: 1) Réhabiliter l’image de la femme d’origine ou d’ascendance africaine» en combattant les préjugés et le racisme qu’il engendre; 2) Éradiquer les mutilations sexuelles féminines (MSF)» en luttant contre la forme extrême de violence faites aux femmes; 3) Mettre les ADOS ensemble, pour un futur meilleur en développant chez les Jeunes d’ascendance africaine le sentiment d’appartenance à la société québécoise et de fierté de leur origine africaine, afin qu’il soit en harmonie avec eux-mêmes et avec les autres citoyens et citoyennes du Québec.
Pour ce, le Réseau FAH2015 organise des rencontres (conférences, forums, ateliers, etc.) de sensibilisation, d’information, d’éducation en vue du changement des mentalités et du vivre ensemble en harmonie au Québec.
Venez nombreux échanger sur ces questions cruciales de notre société et de son avenir.
Oumou SOW Jacqueline KAVANAGHT
Présidente C.A. FAH2015 Co-Présidente C.A. FAH2015
Tél.: (514) 382 - 7158 (450) 671 - 8339
6585, Chemin Côte-des-Neiges, bureau 111, Montréal (Québec) H3S 2A5
E-mail : info@fah2015.org Site Web : www.fah2015.org
COMMUNIQUÉ
Montréal le 31 mars 2008 _ Dans le cadre de la Semaine québécoise contre le racisme, la discrimination et la xénophobie, le Réseau «FEMMES AFRICAINES, Horizon 2015 (FAH2015)» vous convie à une conférence-débat, le samedi 5 avril 2008 au 6767, Chemin de la Côte des Neiges, à partir de 15h précises.
Animée par Dre Aoua Bocar LY, sociologue, chercheure associée à l’Institut des Études des Femmes de l’Université d’Ottawa et présidente-fondatrice du Réseau FAH2015, cette conférence portera sur le thème: «Déconstruire l’idéologie raciste sur l’Afrique et les Africain-e-s d’origine et d’ascendance : du côté des femmes.»
Selon la conférencière : «hier c’était l’esclavage qui avait fait très mal à l’Afrique Noire en pompant de 10 à 100 Millions de ses fils et filles dont le quart a trouvé la mort en cours de route vers le Nouveau Monde, qu’ils sont venus développer, aujourd’hui, c’est l’idéologie esclavagiste qui cause du tort aux Africain-e-s d’origine et d’ascendance. "Savamment inoculée dans les mentalités" (Cheikh Anta DIOP), celle-ci détermine les attitudes et les comportements vis-à-vis des communautés noires. C’est fort de l’idée que ce sont des êtres inférieurs que beaucoup de citoyen-ne-s de race blanche, de façon consciente ou inconsciente, exercent sur elles toutes sortes de discriminations (marginalisation, exclusion à l’emploi, profilage racial, etc.). Ces injustices qui perdurent depuis cinq siècles ont engendré une certaine violence qui menace la paix et la sécurité mondiales. Pour vivre ensemble, en harmonie et en paix, il est important de déconstruire cette idéologie raciste et de rétablir la vérité historique sur l’Afrique et les Africain-e-s. Dans cette entreprise de réconciliation de l’Humanité, le Québec, en tant que Nation Blanche ayant connu l’oppression et l’injustice, a un rôle capital à jouer, surtout en cette année de commémoration du 400ème anniversaire de sa capitale nationale vers laquelle tous les peuples du monde vont converger durant l’été.»
Ce sera là le cœur de l’intervention de la conférencière qui introduira ce sujet d’actualité avant les débats.
«Femmes africaines, Horizon 2015 (FAH2015)» est un Réseau d’Africaines d’origine, d’ascendance et de cœur, intervenantes sociales et spécialistes du développement humain. Leur mission est de bâtir des relations harmonieuses entre leur communauté et les membres de la société d’accueil, surtout les femmes, et d’œuvrer pour l’intégration pleine et entière des Africaines au Québec. L’éducation, l’information et la communication (IEC) sont leurs moyens privilégiés d’intervention. FAH2015 agissent principalement sur trois programmes: 1) Réhabiliter l’image de la femme d’origine ou d’ascendance africaine» en combattant les préjugés et le racisme qu’il engendre; 2) Éradiquer les mutilations sexuelles féminines (MSF)» en luttant contre la forme extrême de violence faites aux femmes; 3) Mettre les ADOS ensemble, pour un futur meilleur en développant chez les Jeunes d’ascendance africaine le sentiment d’appartenance à la société québécoise et de fierté de leur origine africaine, afin qu’il soit en harmonie avec eux-mêmes et avec les autres citoyens et citoyennes du Québec.
Pour ce, le Réseau FAH2015 organise des rencontres (conférences, forums, ateliers, etc.) de sensibilisation, d’information, d’éducation en vue du changement des mentalités et du vivre ensemble en harmonie au Québec.
Venez nombreux échanger sur ces questions cruciales de notre société et de son avenir.
Oumou SOW Jacqueline KAVANAGHT
Présidente C.A. FAH2015 Co-Présidente C.A. FAH2015
Tél.: (514) 382 - 7158 (450) 671 - 8339
mardi 1 avril 2008
AFD: Ouverture d'un comparateur de coûts des envois d'argent à l'étranger
Destiné aux migrants qui envoient des fonds dans leur pays d’origine, ce nouveau site internet permet de comparer les coûts et les modalités des envois d’argent à l’étranger. Objectif : offrir une plus grande transparence et appuyer les efforts des migrants en matière de co-développement.
http://www.envoidargent.fr/
Source : ASSOCIATION FUDIAD
http://www.envoidargent.fr/
Source : ASSOCIATION FUDIAD
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