vendredi 26 décembre 2008

Travaillons Sans Fumée (TSF)


Organizations - General
Description: L'initiative « Travaillons Sans Fumée » (TSF) fait partie de la Tobacco Control Leadership Academy (TCLA) pour le Maghreb, de l’American Cancer Society (ACS). Ce programme vise à accroître le nombre de lieux de travail et d'installations de services de santé offrant un environnement sans fumée de tabac, ainsi qu’augmenter l’appui public pour de telles mesures. De plus, le projet cherche à mobiliser les jeunes et les jeunes adultes du Maghreb, qui représentent eux aussi une partie indispensable au succès de ce projet. Ces jeunes membres travaillent dans les quatre coins de l’Algérie et de la Tunisie afin de promouvoir des mesures sans tabac dans les endroits publics, et d’impliquer leurs communautés dans le projet TSF. Vous pouvez aussi en faire partie – devenez membre de TSF dès maintenant!



“Travaillons Sans Fumée” (TSF) is part of the American Cancer Society’s Tobacco Control Leadership Academy. The program focuses on building support for and increasing the numbers of smokefree worksites and healthcare facilities. Youth and young adult advocates are a critical part of the TSF program. Youth members are working across Algeria and Tunisia to build support for smokefree policies and get their community involved in TSF. You can get involved too – join TSF today!
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Pour nous rejoindre / To reach us:

Catherine.Laska@gmail.com (Français, English)

HollyAprea@gmail.com (English only)

Contact Info
Email:
Website: http://www.TravaillonsSansFumee.blogspot...

samedi 13 décembre 2008

Recevez vos appels depuis l'Afrique quasi gratuit


Kamit Communications Inc vient d' ajouter un nouveau service de callback international . ce service permet à toute personne qui ont des parents et amis restés au pays d' etre en contact permanent avec ce dernier . Vos parents et amis sont en Afrique , en Europe , en Amérique latine , en Asie , en Australie bref sont quelque part dans le monde , avec la solution Yinn international Callback , vous en contact permanent avec lui .

Voici comment ce service fonctionne :

Comment utiliser le service Callback international de Kamit Communications Inc avec Yinn en utilisant votre téléphone portable ou fixe ?



1- Composer les numéros Callback international : +13236011155, 001 ou 00 13236011155 / 011 ou 00 441213146869 ( Afrique et certains pays)

2- Quand vous appelez notre numéro Callback international notre système vérifie votre numéro , vous entendrez un signal d' occupation et vous raccrochez le téléphone . Si votre numéro correspond à un numéro enregistré dans notre système ce dernier va vous rappeler et quand vous décrochez vous entendrez l' instruction de composer le numéro de votre correspondant mais quand notre système ne reconnaît pas votre numéro , ce dernier va vous rappeler et quand vous décrochez , vous entendrez l' instruction d' entrer le NIP de votre carte Yinn pour vous authentifier et composer le numéro de votre correspondant .


3- Entrer le numéro de votre correspondant :: code du pays + le numéro de téléphone. Ne pas entrer le préfixe international (00, 011, etc)


Note : Vous devez avoir un crédit sur votre téléphone portable avant d' appeler notre numéro callback international .

Vous pouvez utiliser votre téléphone fixe pour appeler notre numéro callback international.

Si vous n' etes pas encore inscrit visiter notre site au www.yinn.ca et profitez de ce service exceptionnel à bas prix .

Todoe K. Olivier
Président/CEO Kamit Communications Inc
Tel: 15147399119 (Bureau/Office)
Cel: 15144640041
email : olivier.todoe@yinn.ca
www.yinn.ca

vendredi 12 décembre 2008

Délégation de la Conférence épiscopale de la République démocratique du Congo en visite au Canada

Le 2 décembre dernier, dans le cadre d'une visite organisée par l’Organisation catholique canadienne pour le développement et la paix (OCCDP), en collaboration avec la Commission des affaires sociales de la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC), une délégation comprenant une religieuse et deux évêques de la République démocratique du Congo (RDC) a tenu des rencontres avec des députés canadiens afin de les sensibiliser aux atrocités qui sévissent actuellement dans le sud-est du pays, près de Goma.
« Notre peuple souffre et nous avons besoin de votre aide », a dit le chef de la délégation congolaise, Mgr Fridolin Ambongo, président de la Commission épiscopale Justice et Paix, lors d’un dîner-causerie avec des représentants de chacun des trois grands partis politiques fédéraux.
Les évêques congolais ont demandé que le Canada contribue à la force de maintien de la paix. « Les troupes qui composent actuellement la Mission de maintien de paix des Nations Unies en RDC ne sont pas efficaces », a expliqué soeur Marie-Bernard Alima Mbalula, secrétaire de la Commission épiscopale Justice et Paix. « De plus, les graves fautes en matière d’éthique qui ont été commises par les troupes de l’ONU ont ébranlé la confiance des populations locales. »
La délégation congolaise a également exprimé le souhait que le Canada s'investisse dans l'aide humanitaire, dans le contrôle de l’exploitation des ressources naturelles et dans l’appui logistique, notamment en ce qui a trait à la formation des forces policières congolaises. Les trois membres de la délégation demandent aussi que l'on veille au respect des ententes qui ont été signées. « Il ne faut pas reléguer aux oubliettes les mécanismes de dialogue qui existent déjà », a insisté Mgr Fulgence Muteba, président de la Commission épiscopale des communications sociales.
Malgré la crise politique actuelle sur la Colline parlementaire, les délégués congolais, qui étaient alors accompagnés de Mgr Brendan O’Brien, archevêque de Kingston et président de la Commission des affaires sociales de la CECC, ont pu s'entretenir avec le ministre des Affaires étrangères, M. Lawrence Cannon, qui s’est montré très attentif aux faits qui lui ont été exposés.
Soeur Marie-Bernard Alima Mbalula a fait part des atrocités dont elle a été témoin : « Le viol est utilisé comme une arme de guerre. Cela constitue d'ailleurs une forme de génocide puisque la plupart des agresseurs sont atteints du VIH. En outre, depuis la reprise des hostilités, cet automne, dans la province du Nord-Kivu, plus de 1,5 million de personnes ont dû fuir leur domicile. Près de Goma, j’ai vu plus de 25 000 personnes entassées dans des camps, sans abri et sans nourriture. J’ai même vu des femmes accoucher sous la pluie. »

jeudi 11 décembre 2008

REFLEXION ...les vraies questions de développement de l'Afrique


Nous (africains) n'avons pas été formés à l'école du blanc pour servir l'Afrique mais bien plus pour répondre aux problèmes des blancs (en agriculture: café, cacao et coton, alors qu'on manque du macabo plus tard pour nourrir la famille ==» achat du riz et pain-blé- du blanc).

Mais, il revenait à nous à un moment (malgré les obstacles qu'on nous pose) de reposer les vraies questions de développement de l'Afrique. Le développement étant comme tu dis l'amélioration des conditions de vie, nous devions tropicaliser les connaissances acquises à l'école pour répondre à nos problèmes de vie (ma maman utilise jusqu'à ce jour le grattoir pour faire le kouakoukou, elle utilise encore le plantoir pour semer, etc.).

J'utilise les exemples de l'agriculture parce que c'est le domaine auquel je suis plus proche, il y a de nombreux exemples dans tous les domaines, tu en as cités dans le domaine de l'eau.

La colonisation, l'évangélisation et l'esclavage ont fait ce qu'ils ont fait et maintiennent les traces.

Ma dernière étude sur les croyances ancestrales et la conservation, a montré que nos ancêtres avaient une haute connaissance et savoir-faire de la conservation dont la plus grande illustration c'est les sites sacrés (naturels ou pas) qui résistent encore à toutes les agressivités.

Or la conception de la conservation vue par les occidentaux a toujours omis les aspects intangibles de la nature. Nous l’avons longuement discuté au dernier congrès mondial de la conservation de l'IUCN en Espagne en octobre dernier. Conclusion, une motion a été adoptée pour revoir la définition de la nature (conservation parlant) qui prendra dorénavant en considération les aspects non visibles et les connaissances ancestrales.

Pour en arriver là, il a fallu que je tropicalise le concept de la conservation et je suis fier de tes prises de position. Ce dont nous avons également besoin, c'est l'arrêt de nous envoyer en Afrique des soit disant Assistants Techniques ou Coopérants qui n'ont aucune expérience ni de l'Afrique, ni de leur domaine de qualification car venant à peine d'obtenir leur parchemin de l'école. Je ne les considère pas comme des assistants techniques mais plutôt comme des techniciens assistés.

En effet, ils sont assistés par leurs institutions pour aller apprendre sur le terrain Afrique, mais malheureusement ils y constituent un grand danger parce que sur le terrain certains les prennent pour des dieux (sait-tout). Pourtant, il y a des cadres africains qui pourraient mieux faire, mais qui ne bénéficient pas du même crédit. Et l'argent investit dans l'apprentissage des soit disant assistants techniques ou coopérants (techniciens assistés) est comptabilisé dans la dette de l'Afrique: pauvre Afrique


UNE REFLEXION DE Kamga K

mercredi 3 décembre 2008

3 Déc : Journée internationale des personnes handicapées




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Le 3 décembre, une journée pour changer de regard
C'est en 1992 que la journée du 3 décembre a été proclamée "Journée internationale des personnes handicapées" par les Nations Unies, afin de mettre en place un programme d'intégration plus grande des personnes handicapées à la vie sociale, politique et économique. C'est l'occasion aussi de rappeler des principes évidents et pourtant trop souvent bafoués. Ainsi, bien que la convention des droits de l'homme stipule que tout être humain a droit à l'éducation et au travail, de nombreuses personnes handicapées n'accèdent de façon épanouissante ni à l'un ni à l'autre. Cette journée est également pour nous tous l'occasion de changer de regard sur les personnes handicapées autour de nous.

En France, des progrès, une loi...
Depuis 2005, les personnes handicapées sont soutenues par une loi «pour l’égalité des droits et des chances, pour la participation et pour la citoyenneté des personnes handicapées». Cette loi oblige à accentuer l'accessibilité des lieux de travail et encourage davantage les employeurs à intégrer dans leurs équipes des personnes handicapées. Un impératif, quand on pense que 10% de la population française souffre d'un handicap, tout en ayant beaucoup à apporter à notre société.

La lutte contre le handicap et ses origines
Améliorer les conditions de vie des handicapés n'est cependant pas suffisant, et cette journée d'action est également centrée sur la lutte contre les sources de handicap partout dans le monde. Ces sources sont nombreuses : les mines antipersonnel qui continuent de mutiler les civils longtemps après la fin d'une guerre, mais aussi, dans les pays les plus pauvres, les mauvaises conditions de vie qui aliènent les chances de nombreux enfants de grandir normalement. Plus près de nous, des causes bien connues de handicap sont encore trop nombreuses : les accidents de la route, les accidents du travail...

A vous la parole !
Vous souffrez d'un handicap ou vous avez parmi vos proches une personne handicapée ? Parlez-nous des progrès que vous attendez, de vos espoirs, de vos déceptions aussi.

Pour approfondir ce sujet : http://www.un.org


Pour vous joindre àl'action

signer cette pétition et surtout de la faire circuler autour de vous
SVP

http://www.mesopinions.com/Appui-a-la-Convention-relative-aux-droits-des-personnes-handicapees-et-son-Protocole-facultatif-petition-petitions-a75f6bfcedbeb47bc1c9afd5ad575f31.html

Et si vous êtes sur FACEBOOK, rejoignez nous sur :

http://apps.facebook.com/causes/122674?recruiter_id=9872910

Merci



lundi 1 décembre 2008

Journée internationale pour l'abolition de l'esclavage



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Le 2 décembre, réagissons contre l'esclavage
Le 2 décembre 1949, l'Assemblée générale des Nations Unies adoptait la Convention pour la répression et l'abolition de la traite des êtres humains et de l'exploitation de la prostitution d'autrui. C'est pourquoi la date anniversaire de cet événement a été choisie pour sensibiliser l'opinion au problème toujours actuel de l'esclavage.

Les formes de l'esclavage moderne

On serait tenté de croire que l'esclavage n'existe plus de nos jours. Or, s'il est vrai que l'esclavage systématique de populations entières tel qu'il a pu être infligé autrefois en Afrique n'existe plus, d'autres formes d'esclavage subsistent encore. De nombreux êtres humains, dépouillés de leurs droits les plus élémentaires, sont exploités et privés de liberté. La prostitution, le travail forcé, touchent malheureusement particulièrement les enfants.

Les racines du mal

L'esclavage est un concept qui s'appuie la plupart du temps sur une vision du monde raciste, justifiant l'asservissement d'êtres humains par d'autres êtres humains sur la base d'une hiérarchie des races. C'est pourquoi la lutte contre l'esclavage passe aussi par la lutte contre le racisme.

L'esclavage a existé dans de nombreuses civilisations. Ainsi dans l'Egypte des pharaons, dans la Rome antique, les travaux les plus durs étaient effectués par des personnes réduites en esclavages à la suite de guerres de conquête. La France a également asservi les populations de ses colonies en Afrique. De nombreuses voix se sont élevées contre l'esclavage depuis le XVIIIème siècle, comme celles de Montesquieu, Voltaire, Diderot...

C'est pourtant seulement en 1848 que l'esclavage a été aboli dans les colonies françaises.


Source: Dromadaire

BABILLARD-AFRICAIN-CANADA